Des résultats... sans surprise

Amiens, Epinal et Morzine-Avoriaz se sont qualifiés ce soir pour les quarts de finale, respectant ainsi le classement des phases régulières.

• 5e-12e : Amiens-Dijon : 8-0 : le supplice bourguignon
  

Il faut croire que l'intensité du match de la veille et la séance de tirs aux buts ont laissé beaucoup plus de traces chez les Ducs que chez les Gothiques. Ajoutez à cela une finale dimanche jouée à Bercy face à la grosse cylindrée qu'est Grenoble... et voilà les Dijonnais qui ont payé cash ce soir une fatigue accumulée au fil de trois gros matches. Amiens avait l'avantage de la glace et ne s'en est pas privé, profitant en plus de l'indiscipline récurrente de son adversaire : 38 minutes de pénalités et 4 buts sur 8 encaissés en infériorité numérique. Maintenant direction Angers pour des Gothiques qui, pourrait-on dire, partent avec le dossard de l'outsider favori. En effet, lors des phases régulières, Amiens a battu par deux fois Angers à l'aller comme au retour (7-1 et 7-3).

• 6e-11e : Epinal-Chamonix : 6-3 : Epinal, le cauchemar rouennais
  

Epinal a finalement décroché son billet pour les quarts de finale aux termes d'un match très serré. Il a fallu en effet attendre la 51e minute pour que le très talentueux Plch libère les nageoires des Dauphins (4-2 à 51'49). Sur cette lancée, Petrak et Caicco ont crucifié le portier savoyard (52'58 et 56'55 à 4 contre 5 : 6-2), Duchosal marquant un ultime but en supériorité numérique pour Chamonix à 5 contre 4 (57'52). Encore une fois, Epinal a ouvert le score et a su le conserver jusqu'au bout (72,7 % de réussite dans cette situation). Epinal se rendra à Rouen mardi. Bien que sortis par les Dragons en coupe de la Ligue, les Dauphins peuvent se targuer d'avoir fait chuter le champion de France en titre, chez lui, au match aller de la saison régulière (7-4), Rouen ayant remporté le match retour à Epinal (6-2).

• 8e-9e : Morzine-Avoriaz-Villard-de-Lans : 3-2 : de peu...
  

Morzine a perdu une bataille mardi contre Villard (5-2), a gagné hier à domicile et a remporté la guerre ! Ce soir, lors d'un match à suspense, les Pingouins se sont qualifiés pour les quarts de finale qu'ils joueront contre Briançon. L'avantage au score des Ours n'a duré que 18 secondes (2'07 Birkeland), Zwikel ramenant l'égalisation à 2'25. Villard a saisi sa chance et ses deux buts sur les deux seules pénalités concédées par Morzine (2'07 et 43'17). "Discipline, défense et rigueur", le message donné par Stéphane Gros à ses hommes a été reçu 5 sur 5, Villard sortant même son gardien pour venir à bout des Pingouins. Malheureusement, cette sortie était suivie de deux pénalités à l'encontre des Ours qui les mettaient en danger et dans une position inconfortable pour égaliser... Morzine aura une belle carte à jouer face au leader du championnat. Les Savoyards n'ont perdu que 4-2 lors des deux matches des phases régulières.

Quarts de finales mardi 3 et mercredi 4 mars :

• Briançon-Morzine-Avoriaz
  
• Grenoble-Strasbourg
• Rouen-Epinal
• Angers-Amiens

Quarts de finale vendredi 6 mars (samedi 7 mars si 4e match)

• Morzine-Avoriaz-Briançon
• Strasbourg-Grenoble
• Epinal-Rouen
• Amiens-Angers
  

Quarts de finale mardi 10 mars (si 5e match)

• Briançon-Morzine-Avoriaz
  
• Grenoble-Strasbourg
• Rouen-Epinal
• Angers-Amiens

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Alain Vogin : "Etre bien en place physiquement et mentalement"

D'ici à l'entrée en lice des quatre premiers de la saison en play-offs, Glacenews vous propose quotidiennement un focus sur chaque équipe. Après Angers, c'est au tour de Rouen, en compagnie de son entraîneur, Alain Vogin.

Glace Info : Rouen termine à la 3e place des phases régulières après avoir été surpris par des équipes inattendues telles Epinal et Villard...

Alain Vogin : après la saison passée et le titre de champion de France, il fallait retrouver cette émotion. Tout le monde voulait nous battre et s'il n'y a pas le maximum de concentration et de travail, si l'équipe manque d'humilité, on peut tomber dans le piège. Il faut aussi prendre en compte que le niveau du championnat augmente d'année en année. Epinal a battu Rouen et Briançon, a mis en danger Grenoble et là sur le 1er match du 1er tour, les Dauphins se font battre par Chamonix. Ils sont subitement devenus moins bons ? Non, Chamonix a su élever son niveau.

G. I. : en cas de demi-finale contre Grenoble, la 3e place vous fait perdre l'avantage de la glace. Comment envisagez-vous la situation ?

A. V. : le challenge en est encore plus grand ! Celui qui a l'avantage de la glace ne doit faire aucun faux-pas. L'autre doit aller chercher au moins un match à l'extérieur, le premier, c'est mieux, et pourquoi pas le deuxième ! Quand on regarde les résultats de notre saison régulière, on est allé chercher au moins un point partout. A l'extérieur, on sait qu'on est capable de performer.

G. I. : qui de Chamonix ou d'Epinal souhaiteriez-vous retrouver sur votre route ?

A. V. : d'abord, il faut être bien en place physiquement, mentalement et dans un 2e temps, je décortiquerai les vidéos de chaque équipe. Elles sont prêtes à être visionnées dès qu'on connaîtra notre adversaire. Face à Epinal, il faudra de la discipline car les Dauphins ont un très bon power play. Il ne faudra pas leur laisser de temps et d'espace. Il y a de très bonnes individualités telles Plch, Simko, Petrak... Chamonix est rapide, dynamique avec des anciens Rouennais qui y jouent, ce qui ajoute au match sa part d'émotion. Ceski, Aimonetto par exemple sont très bons offensivement. A l'arrière, il y a aussi Torgersson, un bon défenseur que j'aime bien. On verra...

Rendez-vous demain avec Nicolas Tomasini, manager de Grenoble.

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Les Bisons surpris par l'Avalanche

Mont-Blanc mène 1 à 0 dans la course au maintien face aux Bisons (6-2)

Hier soir, se jouait le 2e match de la poule de qualification pour les quarts de finale, mais également le 1er match de la poule de maintien quelque peu éclipsé par l'enjeu de la première poule.

Si Neuilly-sur-Marne fait rarement d'étincelles à l'extérieur (7,7 % de réussite), Mont-Blanc se débrouille moins bien chez lui que chez l'adversaire (15,4 % contre 34,6 %). Avec une victoire chacun en ligue Magnus (4-2 et 4-9), il fallait attendre la confrontation pour dire qui en sortirait vainqueur.

Pourtant hier soir, l'Avalanche a coulé dans la neige les Bisons sur le score de 6 à 2. Ce soir, les montagnards jouent encore à la maison. Reste à savoir si les Bisons chassés de la glace hier soir reprendront du poil de la bête pour résister à une 2e secousse...

• Prochaine confrontation ce soir

Mont-Blanc - Neuilly-sur-Marne (1-0)

Strasbourg monte dans le quart

And the winner is... Le César de la meilleure équipe revient à Strasbourg. L'Etoile noire a assombri définitivement les Diables tourangeaux et s'en ira mardi affronter les Brûleurs de Loups. Les trois autres équipes ex-aequo reçoivent le César du meilleur scénario. Elles ont toutes remporté leur match à domicile. Suspense jusqu'à demain soir pour connaître le dénouement final.

• 5e-12e : Amiens-Dijon : 4-3 aux tirs aux buts : fatals Picards !
  

Ce qu'il y a de bien avec Dijon et Amiens, c'est que l'on sait quand ça commence, mais jamais quand ça finit. Au bout d'un match haletant, les Gothiques ont repris la main sur les Ducs de Dijon qui l'avaient remporté mardi 3-2 après prolongation. Malgré l'ouverture du score maintenu 2-0 pendant 20 minutes et le léger avantage d'un but de Dijon, Amiens a fait preuve de patience et a actionné son power play pour ramener l'égalité par la crosse de Marcos (52'53). Une prolongation, des tirs aux buts, voilà un véritable cadeau pour l'un des cinq meilleurs pointeurs du championnat. Le Slovaque Pazak met ainsi la pression sur Dijon, encore très pénalisé ce soir (40 minutes contre 18 pour Amiens) qui jouera encore demain soir à Amiens (19,2 % de réussite à l'extérieur...)

• 6e-11e : Epinal-Chamonix : 8-5 : Les Dauphins surnagent
  

Chamonix sait qu'aller gagner à Epinal est toujours difficile. Malgré la première victoire 5-2, les Chamois s'attendaient à une violente réaction des Dauphins. Ce fut chose faite car Shawn Allard envoyait sans retenue ses lance-flammes favoris, Plch, Petrak, Simko et Chassard. Une fois le score ouvert (14'01), Epinal, la crosse entre les dents, ne desserrait plus le mors. L'équipe réussissait à conserver l'avance d'un but jusqu'à 58'02, le 7e but marqué 27 secondes plus tard par Simko crucifiant les Chamois. Epinal a confirmé son taux de réussite de 72,7 % (victoire après ouverture du score) et de succès sur sa glace (61,5 %). Attention car le même scénario pourrait se reproduire demain soir, les Dauphins se sentant comme des poissons dans l'eau, à la maison...

• 7e-10e : Strasbourg-Tours : 3-1: Strasbourg qualifié !
  

Seule équipe à avoir gagné à l'extérieur mardi contre Tours (3-4), Strasbourg a confirmé sa bonne forme en s'imposant ce soir chez lui. De quoi préparer l'esprit libre la rencontre contre Grenoble, en quarts de finale, mardi. L'on savait Tours moins à l'aise à l'extérieur (38,5 % de réussite). Ce que les Diables noirs ont prouvé une fois encore. A 1-1, les Tourangeaux n'ont pas su éclipser l'Etoile noire qui, patiemment, a peu à peu privé d'oxygène ses adversaires. Tours a désormais de longues semaines devant lui pour réfléchir à la prochaine saison et résoudre entre-temps ses gros problèmes financiers.

• 8e-9e : Morzine-Avoriaz-Villard-de-Lans : 5-1 : les Pingouins s'accrochent
  

Si Morzine a perdu une bataille mardi contre Villard (5-2), il n'a pas perdu la guerre ! La confrontation s'annonçait serrée et a tenu jusque-là toutes ses promesses. Meilleurs chez eux que Villard à l'extérieur, les hommes de Stéphane Gros n'ont pas vendu la peau de l'Ours avant de l'avoir tué. Villard, revenu à égalité à 21'19 grâce à Papa en pleine surchauffe à 4 contre 5, a vu ses espoirs de victoire balayer par l'efficacité du power play savoyard (2-1 Tardif à 5 contre 4 à 25'42, 3-1 Gras à 5 contre 4 à 35'15). Demain, les Ours débouleront sur la glace morzinoise toutes griffes dehors. Mais les Pingouins ont prouvé ce soir que leur graisse résistait jusque-là à toute épreuve...

Prochaines confrontations samedi 28 février :

• 5e-12e : Amiens-Dijon (1-1)
  
• 6e-11e : Epinal-Chamonix (1-1)
  
• 8e-9e : Morzine-Avoriaz-Villard-de-Lans (1-1)

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Heikki Leime : "Je n'ai pas de regret"

D'ici à l'entrée en lice des quatre premiers de la saison en play-offs, Glacenews vous propose quotidiennement un focus sur chaque équipe. Aujourd'hui, Angers, en compagnie de son entraîneur, Heikki Leime.

Glace Info : comme l'an passé, vous terminez à la 4e place des phases régulières. Quel regard portez-vous sur votre saison avant les play-offs ?

Heikki Leime : elle s'est passée plutôt normalement. Nous n'avons pas fait d'exploit, mais je n'ai pas de regret non plus. Cette 4e place est exactement ce qu'il était possible de réaliser dans ce championnat.

G. I. : vous étiez à deux doigts d'aller en finale de la Coupe de France, mais Dijon a croisé votre chemin...

H. L. : c'est la seule vraie déception de cette saison. Le match était jouable contre Dijon et nous aurions pu vraiment aller en finale. Mais c'est comme ça.

G. I. : contrairement à l'an passé où vous avez pris le groupe en cours de route, vous avez façonné l'équipe cette année comme vous la souhaitiez. Qu'est-ce qui en a fait la force ?

H. L. : pour moi, en effet, je n'ai commencé avec Angers que cette année. Pour cette première saison, le groupe a été bon offensivement, pas loin des meilleures équipes, avec dedans, beaucoup de joueurs capables de marquer. le power play ainsi que le jeu en infériorité numérique ont bien fonctionné. Les seules difficultés que nous ayons connu de temps en temps se trouvent en défense.

G. I. : vous rencontrerez à partir de mardi Amiens ou Dijon. Quels pièges pourraient vous poser ces deux formations ?

H. L. : Amiens est une équipe très dangereuse si on lui laisse de l'espace. Contre eux, il faut être très solides défensivement. Dijon est une équipe mystère, capable de faire des choses énormes comme des choses beaucoup moins bonnes. Elle joue le contre avec un power play qui fonctionne bien. Face à eux, c'est une question de patience. Il ne faut surtout pas commencer à courir partout car il y a toujours quelqu'un qui attend assez haut. Il ne faut pas leur donner le puck pour rien !

G. I. : comment sentez-vous l'équipe à 5 jours des quarts de finale ?

H. L. : je la sens très, très bien. Elle a très bien fini le championnat. La victoire contre Rouen lui a donné beaucoup de confiance. On a aussi gagné à Epinal, ce qui n'est jamais facile. Et même si le match contre Morzine a été un peu "fou fou", ces trois victoires sont très importantes. L'équipe est en pleine forme. On a fait un travail énorme durant toute la saison qui s'avère payant aujourd'hui.

Rendez-vous demain avec Alain Vogin, entraîneur de Rouen.

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Carl Mallette : "Marc-André Thinel est un artiste"

Suite au classement établi par la presse et publié dans l'Equipe du mardi 24 février qui couronne Julien Desrosiers et Marc-André Thinel, respectivement meilleurs joueurs français et étranger de la saison, Glacenews a demandé son avis au joueur de la Ligue Magnus qui les connaît le mieux : Carl Mallette.

• Marc-André Thinel
  

"Sur les 12 dernières années, nous avons joué 8 ans ensemble. Il est l'un voire LE meilleur joueur de la ligue, le plus talentueux. C'est un artiste. Il n'a pas fait un bon début de saison à cause de ses blessures à l'aine. Et pourtant, malgré la douleur, il a joué quand même. Le déclic a eu lieu durant la Coupe continentale. Il a pris confiance et est redevenu une menace sur la glace. Cette distinction de la presse est amplement méritée. A Victoriaville, nous avons joué 4 ans sur la même ligne. Nous sommes complémentaires et avons chacun l'un pour l'autre un respect mutuel. En dehors de la glace, c'est un garçon intelligent, facile à côtoyer. Il est toujours positif, a toujours le sourire. Quand ça ne va pas, il ne le montre jamais. Il est capable aussi d'être un solitaire."

• Julien Desrosiers
  

"Julien est quelqu'un de discret et de réservé. J'ai appris vraiment à le connaître depuis 2 ans. Alain Vogin a pensé que nous avions deux jeux complémentaires et le délcic a eu lieu. Depuis 2 ans qu'on joue ensemble, Julien a pris confiance en lui. Il a compris qu'à nous deux, on n'avait rien à envier aux autres. Lui est rapide. Moi, je suis plus lent, j'analyse plus le jeu. Je sais comment lui dire ce qui va et ce qui ne va pas sur la glace. Je crois que depuis ses années juniors, il essayait de se prouver à lui-même et aux autres qu'il était un bon joueur. Il a compris qu'il est bien plus que cela ! En dehors de la glace, il est comme sur la glace : généreux. Il serait prêt à tout donner pour ses amis, comme il le fait pour l'équipe sur la glace, avant de penser à lui. C'est une très bonne personne."

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Des résultats... et des surprises !

Comme toujours lors des play-offs, la première journée de poule qualificative a réservé quelques surprises aux supposés favoris. A part Tours battu par Strasbourg, Chamonix, Dijon et Villard-de-Lans ont tous trois remporté leur match à domicile.

• 12e-5e : Dijon-Amiens : 3-2 après prolongation : Amiens piégé !

Incroyable ! Qui a dit que les Ducs seraient fatigués après leur finale de Coupe de France perdue face à Grenoble ? Alors qu'ils recevaient les Gothiques, les mieux classés de cette poule de qualification, les Bourguignons, galvanisés, ont plus qu'ébranlé l'édifice picard en le grignotant pierre par pierre.

Quelle bagarre ! (au sens propre comme au figuré : 69 minutes de pénalités pour Dijon et 42 minutes pour Amiens, les deux équipes les plus pénalisées de la saison). Habitués à un large score face aux Ducs pendant les phases régulières (9-3 et 11-4), les Gothiques se sont heurtés à une incroyable résistance, les tenant à l'écart 2-0 pendant 38 minutes !

Si les Dijonnais sont rarement parvenus cette saison à conclure après l'ouverture du score (33,3 % de réussite), ils ont bel et bien montré ce soir qu'un autre championnat commençait. Bien meilleurs chez eux qu'à l'extérieur (19,2 % de réussite), les hommes de Daniel Maric seront pourtant certainement très dangereux à Amiens car ils n'auront rien à perdre. Bien au contraire !

• 11e-6e : Chamonix-Epinal : 5-2 : la revanche de l'outsider !
  

Epinal, plutôt favori aux termes d'une saison fructueuse, partait avec l'avantage des statistiques. Toujours largement victorieux face à Chamonix (8-1 et 9-2) durant la saison, les Dauphins ont pourtant coulé face à de robustes Chamois, auteurs de trois buts en trois minutes chrono (55'25, 55'49, 58'48).

Une véritable performance même si l'on sait Chamonix plus à l'aise à domicile qu'à l'extérieur (46,2 % contre 19,2 %). Epinal aura désormais la pression chez lui et devra ouvrir le score et, surtout, savoir le conserver pour disputer un 3e match. En effet, Epinal a un taux de réussite de 61,5 % de victoire à la maison et un taux de 72,7 % de réussite lorsqu'ils déflorent le tableau d'affichage.

• 10e-7e : Tours-Strasbourg : 3-4 : un faible écart attendu

Une victoire partout lors des deux confrontations en ligue Magnus (5-2 et 4-6), un même taux de réussite à domicile pour Tours chez lui et pour Strasbourg à l'extérieur (46,2 %) avec une forte probabilité de victoire à 66,7 % pour les Alsaciens dès qu'ils tiennent le score en main (4-1 à 34'33)...

Malgré une belle remontée des Tourangeaux dans le dernier tiers, la rencontre au résultat serré laissait présager statistiquement un léger avantage pour les Strasbourgeois. Le prochain match en Alsace où l'Etoile noire brille souvent à domicile (57,7 % de réussite) devrait être palpitant, même si Tours voyage moins bien (38,5 % de réussite à l'extérieur).

• 9e-8e : Villard-de-Lans-Morzine-Avoriaz : 5-2 : un duel fratricide
  

Comme un air de derby entre deux clubs de montagne... Avec chacun une victoire sur l'autre en saison régulière (1-4 et 4-3), il était bien difficile ce soir de fournir le nom du vainqueur.

Avec 50 % de réussite à la maison pour les Ours et 50 % à l'extérieur pour les Pingouins, un taux de réussite de 46,2 % pour Villard avec ouverture du score (42,9 % pour Morzine sans ouverture), le match promettait un bel équilibre.
Mais voilà ! Après avoir réussi à maintenir le 2-1 jusqu'à 45 minutes, Morzine n'a pu empêcher Le Blond et Sedlak de creuser l'écart (4-1), réduit par Laurent Gras à moins de deux minutes de la fin (4-2). La cage vide morzinoise permet à Villard d'inscrire le 5e but.

Le match de vendredi sera sans aucun doute très fermé, les Pingouins affichant un taux de réussite sur leur glace supérieur à celui des Ours dans leur tanière (46,2 % contre 34,6 %). Mais Ours affamé de quarts de finale n'a point d'oreille. Les Pingouins devront donc se protéger de ses griffes acérées pour rester dans la course...

Prochaines confrontations vendredi 27 février :

• 5e-12e : Amiens-Dijon (0-1)
  
• 6e-11e : Epinal-Chamonix (0-1)
  
• 7e-10e : Strasbourg-Tours (1-0)
  
• 8e-9e : Morzine-Avoriaz-Villard-de-Lans (0-1)

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Pas de Match des Etoiles cette année

Bien que la liste des Etoiles françaises et étrangères a été dévoilée hier, lors de la finale de la Coupe de France à Paris-Bercy, le Match des Etoiles n'aura pas lieu.

Glacenews en a eu la confirmation cet après-midi par la fédération française de hockey sur glace : le Match des Etoiles n'aura pas lieu. A l'instar du cru 2006/2007, l'organisation de cette rencontre souffre d'un manque de place au sein du calendrier.

En effet, début des poules de qualification, de maintien et des play-offs oblige, on ne voyait pas trop comment la fédération aurait réussi à conserver les joueurs étrangers qui, pour certains, achèveront leur saison bien avant la fin mars. Une fois les matches de la finale terminés, les internationaux français, quant à eux, enchaîneront avec le regroupement préparatoire aux Mondiaux de Berne.

En 2005, la 1re édition s'était déroulée à Rouen en février. Grenoble avait ensuite accueilli la manifestation le 15 février 2006. Pas de match en 2007 pour cause de "bouchon" dans le calendrier. L'an passé, la fédération avait profité du centenaire du hockey français pour programmer l'épreuve le 20 janvier à Chamonix.

Sélection française entraînée par Stéphane Barin

• Cages : Eddy Ferhi (Grenoble) et Henri-Corentin Buysse (Amiens)
  

• 1er bloc : Desrosiers (Rouen), Mortas (Amiens), Rozenthal F. (Morzine) + Amar (Grenoble) et Bachet (Amiens)
  

• 2e bloc : Fleury (Grenoble), Sadoun L. (Amiens), Raux (Briançon) + Mille (Morzine) et Pouget (Mont Blanc)
  

• 3e bloc : Zwikel (Morzine), Romand (Rouen), Chassard (Epinal) + Manavian (Grenoble), Roussel (Amiens)

Sélection étrangère entraînée par Luciano Basile

• Cages : Satosaari (Briançon), Russo (Tours)
  

• 1er bloc : Doucet (Rouen), Dufour (Briançon), Thinel (Rouen) + Rouleau (Grenoble), Gervais (Epinal)
  

• 2e bloc : Pazak (Amiens), Plch (Epinal), Bellemare (Angers) + David (Rouen), Groleau (Briançon)
  

• 3e bloc : Mallette (Rouen), Amado (Amiens), Riendeau (Strasbourg) + Wallin et Bergström (Grenoble)

Côté français : on peut remarquer que Desrosiers, Bachet, Amar et Rozenthal F. sont des valeurs sûres du hockey français avec une participation dans chaque sélection depuis la création de cette compétition en 2004. Ils sont talonnés par Zwikel, Sadoun L. et Pouget (40 ans !) qui en comptent quatre à leur actif. Cette année, Fleury et Mille confirment puisque l'an passé, ils étaient remplaçants. A noter aussi l'entrée directe de Raux, Romand, Manavian et Roussel.

Côté étranger : le Canada est largement représenté avec 11 joueurs et un 1er bloc, 100 % feuille d'érable ! Les Québécois trustent également l'attaque sur le 3e bloc, laissant la défense aux Suédois de Grenoble, reflet assez fidèle des statistiques individuelles de la saison régulière. Le duo slovaque Pazak - Plch dirige le 2e bloc. Cependant, il est étonnant de ne pas voir apparaître les Tchèques Broz et Masa, présent l'an passé dans la sélection, le Slovène Sivic, le Slovaque Sopko (en 2e gardien !), le Slovène Terglav, le Canadien Roussin, le Slovaque Baluch ou encore le Finlandais Glad...

Mais il faut bien faire un choix et les entraîneurs de ligue Magnus et des Tricolores (65 % des votes) et les internautes l'ont fait (35 %). Rouen et Amiens fournissent à eux deux la moitié des attaquants (9 sur 18) tandis que Grenoble fait parler la défense en alignant un tiers des arrières (4 sur 12).

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Coupe de France : vu d'ailleurs

Si de nombreux supporters assistaient à cette belle fête du hockey cet après-midi à Paris-Bercy, des spectateurs étrangers étaient aussi de la partie. Glacenews les a rencontrés. Petit voyage en Suède, au Canada, en Slovaquie, en Italie et aux Etats-Unis.

Nous ne vous raconterons pas le match ni la victoire de Grenoble, qui rejoint ainsi Rouen avec deux coupes remportées deux ans de suite, en battant Dijon sur le score de 6-1. Nous ne vous livrerons pas non plus les impressions de chaque équipe. C'est en effet ce que vont faire tous les médias présents à Bercy.

A Glacenews, nous avons préféré vous apporter un autre regard sur un événement bien franco-français, celui d'un public étranger présent dans les tribunes, qui a un avis sur le hockey hexagonal.

• Anja, 38 ans, Suédoise de Malmö

L'accent est chantant, le drapeau haut élevé dans les gradins vers la cage grenobloise. "Allez les Suédois de Grenoble !" scande Anja à chaque but.

"J'étais déjà là l'année dernière avec d'autres amis suédois. Nous aimons beaucoup le hockey et la finale de la Coupe de France est l'occasion d'encourager nos compatriotes. Grenoble est une belle équipe, là où il y a le plus de Suédois en France. Mats Lusth donne un jeu très "suédois" qui ne laisse pas de place au hasard avec beaucoup de défense."

• Simon, 30 ans, Canadien de Trois-Rivières

"J'ai assisté à un beau spectacle, même si le match s'est vite trouvé en déséquilibre. C'était le fun avec les partisans, les cheerleaders, beaucoup d'ambiance. C'est la 2e fois que je viens à Bercy, j'ai pas l'occasion de voir du hockey intéressant sur Paris. J'ai préféré la finale de l'an passé avec Rouen où les Canadiens sont plus nombreux, avec un jeu plus physique et offensif. Grenoble, c'est une belle équipe, mais ma préférée de ce que j'ai vu, c'est Rouen".

• Jan, 23 ans et Sofia, 22 ans, Slovaques de Viktovice

"Nous sommes à Paris pour un an pour nos études en Erasmus. Nous sommes venus avec des amis français qui suivent le championnat. Nous avons découvert qu'il y a des joueurs slovaques et tchèques dans les deux équipes qui jouaient ici cet après-midi. Ils sont d'un bon niveau et ça fait plaisir d'en voir sur la glace. Pour nos amis, le match était bien. Pour nous aussi, mais chez nous, ça joue plus vite et plus... comment on dit ?... technique avec beaucoup, beaucoup de collectif. Mais bravo à Grenoble qui gagne et à Masa, même s'il est Tchèque, qui est le meilleur joueur du match pour Grenoble".

• Fabio et Lucia, 26 ans, Italiens de Trento

"Nous travaillons dans la mode à Paris. On est des "tiffosi" de Bolzano, le club près de chez nous en Italie. Nous sommes allés voir Bolzano à Rouen, pas loin de Paris, pour la coupe d'Europe. On ne connaissait pas le hockey français, mais on a beaucoup entendu parler de Rouen car c'est une équipe qui a joué plusieurs fois contre des équipes italiennes, Milan et Bolzano aussi. Grenoble est une grosse équipe mais Rouen pour nous est meilleure. On les a vus contre Martin et c'était vraiment impressionnant. C'est bien pour votre hockey d'organiser un match comme ça avec autant de monde à Paris. Chez nous, ça n'existe pas. C'est dommage car à part le football, on parle pas de hockey dans les journaux. On s'est beaucoup amusés aujourd'hui. Nous espérons que l'année prochaine, on sera toujours à Paris pour voir encore la finale".

• Ted, 45 ans, Américain de Washington

"C'est la première fois que je vois un match de hockey français. Je suis venu avec des amis chez qui je suis en vacances. J'ai retrouvé un peu l'ambiance des games de chez moi. Je suis surpris que les fans participent autant, chez nous, c'est plus calme. En toute franchise, je n'ai pas vu un bon match de hockey. Trop de déséquilibre, pas assez de vitesse, pas assez de technique. Pour moi, c'est du hockey amateur. Mais je ne peux pas comparer votre hockey à la NHL, ça n'a rien à voir. Mais j'adore Cristobal Huet, j'ai vu tous les matchs avec les Washington Capitals. J'ai vu quelquefois Philippe Bozon, grand joueur français aussi. C'est dommage que Bercy ne soit pas une vraie patinoire car la glace est pas bonne. Il n'y a pas de patinoire à Paris ? C'est pas vrai ! It's incredible !*" (* C'est incroyable).

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Chacun à sa place

Voici le classement complet de la saison régulière après la 26e et dernière journée de ligue Magnus.

Fini le suspense, terminées les sueurs froides ! A l'issue de cette ultime journée de phases régulières, tout le monde est à sa place. Panorama d'une saison qui s'achève et des play-offs qui se profilent à l'horizon...

1. Sans inquiétude, Briançon a terminé la saison en tête de peloton (49 pts). Le club mise tout sur la Magnus après avoir été sorti de la Coupe de France en 16e de finales par Dijon, et de la Coupe de la Ligue en finale par Grenoble.

2. Grenoble, toujours à l'embuscade, finit en 2e position (45 pts). L'équipe iséroise a remporté la Coupe de la Ligue. Les Brûleurs de Loups tenteront demain de décrocher leur 2e Coupe de france consécutive à Paris-Bercy face à Dijon, 12e de la saison.

3. Rouen, avec ses 42 points, paye très cher sa défaite contre Angers qui, à trois rencontres de la fin de saison, lui a définitivement barré la course à la 2e place et l'avantage de la glace dans le cas d'éventuelles demi-finales à jouer contre Grenoble. Les Normands ont décroché le titre de vice-champions d'Europe.

4. Angers (39 pts) souhaitait se maintenir dans le Top Four. Pari gagné !

5. Amiens (35 pts) rate de peu la 4e place du podium et doit disputer les poules de qualification.

6. Epinal (30 pts) réalise une très belle saison ponctuée de victoires constructives face à Rouen et à Briançon. Un club dont tout le monde se méfiera dans les prochains jours, qui a bien failli inquiéter les Picards pour la 5e place.

7. Strasbourg (26 pts) fait une honorable saison peut-être trop irrégulière pour avoir pu espérer une place plus haute dans le Top 14.

8. Morzine-Avoriaz (25 pts) : la belle surprise du championnat. Malgré un effectif 100% français, Stéphane Gros a su emmener dans les 8 premiers des jeunes joueurs talentueux très bien encadrés par des internationaux expérimentés. La mayonnaise est réussie.

9. Villard-de-Lans (22 pts) : fougue, jeunesse, entrain font de cette équipe atypique un club qui peut inquiéter les plus gros quand elle se lâche sur la glace. Elle n'a aucun complexe et a su le montrer face à Rouen qu'elle est la seule à avoir battu à deux reprises en Magnus cette saison.

10. Tours (22 pts) reste au pied du club des 8 à cause du dernier match contre Morzine-Avoriaz (8-2). Tours encore secoué cette saison par d'importants et récurrents problèmes financiers...

11. Du haut de ses 17 points, Chamonix a sauvé sa tête de la poule de maintien

12. Dijon échappe in extremis à la poule de relégation (14 pts) et n'a pas à rougir d'un parcours en Coupe de France qui le propulse, pour la 2e fois de son histoire, en finale cette fois-ci contre Grenoble, demain, au palais omnisports de Paris-Bercy, à 15h.

13. Mont-Blanc (13 pts)ne peut échapper à la poule de maintien. A quand le regroupement avec Chamonix ?

14. Neuilly-sur-Marne (12 pts), dernier promu de la saison, risque de redescendre en Division 1. Les semaines à venir seront capitales pour les Bisons.

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Chair de poules

Au vu de ce classement, les rencontres (au meilleur des trois matches) de la poule de qualification se présentent ainsi :

Mardi 24 février

• 12e-5e : Dijon-Amiens
• 11e-6e : Chamonix-Epinal
• 10e-7e : Tours-Strasbourg
  
• 9e-8e : Villard-de-Lans-Morzine-Avoriaz
  

Vendredi 27 février

• 5e-12e : Amiens-Dijon
• 6e-11e : Epinal-Chamonix
• 7e-10e : Strasbourg-Tours
  
• 8e-9e : Morzine-Avoriaz-Villard-de-Lans

Samedi 28 février (en cas de 3e match)

• 5e-12e : Amiens-Dijon
• 6e-11e : Epinal-Chamonix
• 7e-10e : Strasbourg-Tours
• 8e-9e : Morzine-Avoriaz-Villard-de-Lans

Confrontations en ligue Magnus

• Dijon-Amiens : 2 victoires à 0 pour Amiens : 9-3 /11-4

• Chamonix-Epinal : 2 victoires à 0 pour Epinal : 8-1 / 9-2
  

• Strasbourg-Tours : 1 victoire partout : 2-5 / 6-4

• Morzine-Avoriaz-Villard-de-Lans : 1 victoire partout : 4-1 / 3-4

Concernant la poule de maintien, Neuilly-sur-Marne et Mont-Blanc s'affronteront au meilleur des cinq matches. L'équipe classée 13e se maintient, la lanterne rouge étant rétrogradée en division I. Calendrier :

Vendredi 27 février

• 13e-14e : Mont-Blanc-Neuilly-sur-Marne

Samedi 28 février

• 13e-14e : Mont-Blanc-Neuilly-sur-Marne
  

Vendredi 6 mars

• 14e-13e : Neuilly-sur-Marne-Mont-Blanc
  

Samedi 7 mars (en cas de 4e match)

• 14e-13e : Neuilly-sur-Marne-Mont-Blanc
  

Samedi 14 mars (en cas de 5e match)

• 13e-14e : Mont-Blanc-Neuilly-sur-Marne
  

Confrontations en ligue Magnus :

• Mont-Blanc-Neuilly-sur-Marne : 1 victoire partout : 4-2 /4-9

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Coupe de France : Bercy ne fait pas le plein

A la veille de la finale de la Coupe de France Grenoble-Dijon organisée pour la 3e année consécutive à Paris, le palais omnisports de Paris-Bercy n'est pas plein*.

12 215 spectateurs lors du Angers-Epinal, première finale organisée à Paris-Bercy le mercredi 14 février 2007, 12 904 personnes lors de la 2e finale Grenoble-Rouen du 17 février 2008... Une spectaculaire progression qui, pour cette 3e édition, peine à se confirmer. En effet, dix jours avant la compétition, il restait 1 500 billets à vendre. Aujourd'hui, à la veille de l'épreuve, plus de 400 tickets en placement libre, soit les places les moins chères à 17 €, n'ont toujours pas trouvé preneur. Pour quelles raisons ?

• Les vacances scolaires ?

C'est en effet le dernier week-end de congés pour la zone A, celle de Grenoble et le premier pour la zone B, comprenant Dijon et Rouen. Quant aux Parisiens, ils entament leur 2e semaine de vacances.

Mais en 2008, au 17 février, date de la finale, Grenoble débutait ses vacances, la zone B (Rouen) entamait sa 2e semaine. Paris travaillait.

En 2007, le 14 février tombait un mercredi. Seule la zone A de Grenoble était en congés. La Saint-Valentin n'avait pas empêché 12 215 spectateurs de venir, dont 400 supporters rouennais (Rouen éliminé par Angers en demi-finale 4-2).

• La Ligue Magnus ?

En dehors des deux clubs finalistes, les 12 autres de ligue Magnus disputent ce soir leur dernière journée de championnat. Les supporters préfèreront d'abord encourager leur équipe au lieu d'aller à Paris le lendemain, difficile quand on en est éloigné, Bercy ouvrant à 13h.

En 2007, même configuration avec la 24e journée de Magnus le samedi 16 février, la veille de la finale.

• L'attrait de l'affiche ?

En 2008, la finale recevait 2 des 3 meilleures équipes de la saison. En 2009, Grenoble est 2e du classement et Dijon, 12e.

En 2008, 4 000 Rouennais et 900 Grenoblois avaient fait le déplacement. En 2009, 900 supporters isérois et 1 100 Bourguignons seront à Paris. Rouen étant, il est vrai, bien plus proche de la capitale que Dijon...

• L'absence des supporters rouennais ?

Bien que les Dragons ne participaient pas à la finale 2007 puisque battus par les Ducs d'Angers au tour précédent (4-2), 400 Rouennais étaient quand même venus assister à la finale contre Epinal. Cette année, suite à la défaite de Rouen contre Grenoble (3-2) mal vécue par les Rouennais, les deux clubs de supporters ont renvoyé à la fédération les places qui leur avaient été réservées. Arguant du fait qu'ils privilégiaient le déplacement de ce soir à Briançon pour soutenir leur équipe...

* sources : les points de vente POPB (Becy) et billetteries Fnac, Virgin, Auchan, etc.

Demain, Glacenews suivra bien entendu la finale à Bercy. En attendant de connaître le vainqueur 2009, rappelons quelques faits sur la Coupe de France depuis sa remise en service en 1999 :

• Grenoble, qui détient la Coupe de France, est finaliste pour la 3e fois. Palmarès : une coupe en 2008 face à Rouen (3-e tab), une défaite face à Rouen en 2004 (5-1).
  

• Dijon est finaliste pour la 2e fois. Palamrès : une coupe en 2006 face à Briançon (3-2 ap).

• plus grand nombre de participations en finale : Rouen avec 5 finales disputées en 2000 (Caen), 2002, 2004, 2005, 2008 (Grenoble)

• plus de coupes remportées : Rouen avec 3 coupes en 2002 face à Besançon (8-1), en 2004 face à Grenoble (5-1), 2005 face à Briançon (4-3 ap)

• coupe remportée deux ans d'affilée : Rouen en 2004 face à Grenoble (5-1) et 2005 face à Briançon (4-3 ap)

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Un point... c'est tout !

Décidément, ça bouge dans le classement. Suite à la sanction prononcée à l'encontre de Strasbourg pour cause de présence de Yannick Riendau sur la glace contre Briançon, le club alsacien n'a plus de point d'avance sur Morzine-Avoriaz au classement général.

Ce qui ne change rien quant à la course pour la 7e place lors de la dernière journée des phases régulières de demain, les deux équipes ayant toutes deux 25 points, Morzine-Avoriaz figurant en 7e position (rubrique ligue Magnus, calendrier et résultats) du classement général, talonné par Strasbourg qui pointe au 8e rang.

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Pee Wee, c'est fini !

Hier soir, les benjamins de Caen ont été broyés par les Canadiens de Québec Cartier 11 à 0. Plus aucun club français ne figure dans le tournoi.

On appelle cela reculer pour mieux sauter. En effet, Caen a disputé un match de moins que ses homologues angevins, grenoblois et rouennais pour une conclusion... identique. Sautant du 1er au 3e tour, les jeunes Caennais se sont heurtés à la puissance locale de Québec Cartier.

La défaite des Normands est la plus lourde enregistrée par un club hexagonal dans ce tournoi Pee Wee 2009, à l'image du fossé qu'il reste à combler entre la formation des jeunes Français et celle des Canadiens.

• Résultat poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg
  

Québec Cartier-Caen : 11-0 : Caen est éliminé (jeudi 19 février)

Il restera néanmoins à tous ces jeunes sportifs des souvenirs inoubliables d'une population accueillante et sympathique et d'un pays magnifique où le hockey s'écrit en lettres capitales.

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Tournoi Pee Wee : Angers hors jeu

Hier soir, les jeunes Ducs d'Angers n'ont rien pu faire contre les Canadiens des Lakeshore Tigers qui ont remporté leur match 4 à 1 et de ce fait, éliminé les Français du tournoi.

"Nous partîmes quatre à l'aube... et nous arrivâmes ?" Sur les quatre clubs français participant à la 50e édition du tournoi Pee Wee, seul Caen est pour le moment rescapé. Contrairement à Angers, Grenoble et Rouen, les Normands ont un match de moins à disputer, passant directement du 1er tour au 3e tour.

Seront-ils plus chanceux que leurs compatriotes ? Réponse ce soir à Charlesbourg, face aux Canadiens de Québec Cartier, une équipe locale qui sera certainement très soutenue par son public.

• Résultat poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg
  

Lakeshore Tigers-Angers : 4-1: Angers est éliminé (mercredi 18 février)

• Match du 3e tour poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg
  

Québec Cartier-Caen : aujourd'hui à 18h45 (0h45 vendredi matin)

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Classement... suspense !

Les Bisons de Neuilly-sur-Marne ont remporté leur match de la 25e journée contre Chamonix : 5-4. Bien qu'assurés de jouer la poule de maintien, ils disputeront la 13e place à l'équipe du Mont-Blanc, samedi.

Décidément, même la fin du classement réserve bien des surprises. Grâce à sa victoire de ce soir, l'équipe francilienne, toujours lanterne rouge, se rapproche de Mont-Blanc, 13e (11 pts). En battant Chamonix, Neuilly-sur-Marne totalise désormais 10 points. Le club devra impérativement gagner samedi contre Tours, tout en comptant sur la défaite de Mont-Blanc face à Villard-de-Lans pour décrocher la 13e place.

Samedi, quatre matches seront donc sous haute surveillance :

1. Angers - Morzine-Avoriaz
2. Tours - Neuilly-sur-Marne
3. Amiens - Strasbourg
4. Villard-de-Lans - Mont-Blanc
   

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Tournoi Pee Wee : au revoir Grenoble

Cet après-midi, les jeunes Brûleurs de Loups se sont cassés les crocs sur les Canadiens de Amos Caisse Desjardins. Ils ont perdu leur match de 2e tour sur le score de 4 à 1 et avec lui, l'opportunité de poursuivre le tournoi.

Angers et Caen continuent, quant à eux, l'aventure face à deux autres équipes canadiennes, les Lakeshore Tigers et Québec Cartier.

• Résultat poule des "Gagnants" au Colisee Pepsi de Québec
  

Amos Caisse Desjardins-Grenoble : 4-1 : Grenoble éliminé (mercredi 18 février)

• Matches du 3e tour Poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg

1. Lakeshore Tigers-Angers : aujourd'hui à 18h45 (0h45 jeudi matin)
2. Québec Cartier-Caen : demain à 18h45 (0h45 vendredi matin)

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Classement... suite

Grâce à la judicieuse remarque d'un internaute (voir le commentaire du post "Classement vertical... ou presque), il est en effet nécessaire de nuancer la fin de classement.

En effet, comme il est écrit dans le post précédent, Neuilly-sur-Marne doit disputer ce soir, à domicile, le match de la 25e journée contre Chamonix. Les Bisons se rendront également samedi les Diables Noirs de Tours.

En reprenant les calculs, la queue de classement risque de changer dans l'hypothèse où Neuilly-sur-Marne remporterait ses deux rencontres et que Mont-Blanc chuterait à Villard-de-Lans, samedi. Si tel était le cas, Neuilly-sur-Marne terminerait la saison régulière à la 13e place et Mont-Blanc serait alors lanterne rouge.

On refait un point ce soir.

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Classement vertical... ou presque

Après la 25e journée de ligue Magnus, le classement final commence à se dessiner.

Si le suspense ne durera pas jusqu'au dernier match pour certaines équipes, il faudra quand même attendre l'ultime journée des phases régulières pour connaître l'intégralité du classement du championnat.

Grâce à leurs victoires respectives sur Strasbourg, Mont-Blanc, Dijon, Epinal et Villard (voir tableau ci-dessous), Briançon (47 pts), Grenoble (45 pts), Rouen (41 pts), Angers (37 pts) et Amiens (33 pts) terminent aux cinq premières places de la saison régulière. En 6e position arrive Epinal (30 pts), suivi par un peloton serré qui devra patienter jusqu'à samedi pour connaître ses futurs adversaires en poule de qualification.

A la lutte pour les 7e et 8e places, on retrouve Strasbourg (26 points) et Morzine-Avoriaz (25 points). Concernant les 9e et 10e rangs, Villard-de-Lans (22 pts) et Tours (22 pts) vont devoir entreprendre une redoutable joute à distance. Ensuite, la fin du classement est d'ores et déjà établie : Chamonix est 11e (17 pts), Dijon, 12e (14 pts), Mont-Blanc, 13e (11 pts) et Neuilly-sur-Marne, lanterne rouge (8 pts).

Résultats de la 25e journée

		Strasbourg	Briançon	0 - 1	0 - 1	0 - 2	-	0 - 4
		Villard	Amiens	1 - 0	4 - 5	0 - 0	0 - 1	5 - 6
		Rouen	Dijon	0 - 0	1 - 0	2 - 0	-	3 - 0
		Epinal	Angers	1 - 0	1 - 1	2 - 4	-	4 - 5
		Morzine-Avoriaz	Tours	2 - 2	4 - 0	2 - 0	-	8 - 2
		Mont Blanc	Grenoble	0 - 1	1 - 1	0 - 2	-	1 - 4

(Reste encore à jouer demain soir le match Neuilly-sur-Marne contre Chamonix).

Au vu de ce classement, les rencontres (au meilleur des trois matches) de la poule de qualification se présentent ainsi :

• 5e - 12e : Amiens-Dijon
• 6e - 11e : Epinal-Chamonix
• 7e - 10e : Strasbourg/Morzine contre Villard/Tours
• 8e - 9e : Strasbourg/Morzine contre Villard/Tours

Quant aux play-offs, voilà comment se profilent les quarts de finale à partir du 3 mars, tout en sachant que Briançon et Grenoble, quel que soit leur adversaire, n'ont jamais trébuché sur l'une de ces quatre équipes en saison régulière. Mais chacun sait qu'à l'heure des play-offs, les compteurs sont remis à zéro...

• Briançon rencontrera dès le 3 mars le vainqueur du 8e contre le 9e
• Grenoble affrontera le vainqueur du 7e contre le 10e
• Rouen accueillera le vainqueur de Epinal-Chamonix
• Angers recevra au Haras le vainqueur de Amiens-Dijon.
  

Quatre matches seront donc sous vigilance orange samedi :

1. Angers - Morzine-Avoriaz
2. Tours - Neuilly-sur-Marne
3. Amiens - Strasbourg
4. Villard-de-Lans - Mont-Blanc

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Tournoi Pee Wee : Angers poursuit

Cette nuit (heure française), les jeunes Ducs d'Angers ont battu l'équipe du Mexique 7 à 0. Cette victoire leur permet de continuer le tournoi. Lors du 3e tour de la poule des "Perdants", ils rencontrent les Canadiens de Lakeshore Tigers mercredi à 18h45, à l'Arpidrome de Charlesbourg (0h45 jeudi heure française).

Matches du 2e tour

• Poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg

1. Orford Cantonniers-Rouen : 2-0 : Rouen est éliminé (lundi 16 février)
   
2. Mexique-Angers : 0-7 : Angers au 3e tour (lundi 16 février)
   

• Poule des "Gagnants" au Colisee Pepsi de Québec

Amos Caisse Desjardins-Grenoble : mercredi à 11h45 (17h45)

Matches du 3e tour
Poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg

1. Lakeshore Tigers-Angers : mercredi à 18h45 (0h45 jeudi matin)
2. Quebec Cartier-Caen : jeudi à 18h45 (0h45 vendredi matin)

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Final en R mineur

Alors que les benjamins du Char (centre de hockey amateur de Rouen) avaient perdu la finale en 2005, leurs successeurs s'arrêtent quatre ans après au 2e tour.

Les Dragonnets ont été battus ce soir à l'Arpidrome de Charlesbourg sur le score de 2 à 0 par les Canadiens d'Orford Cantonniers. Désormais, ils ne disputeront que des matches amicaux jusqu'à la fin du tournoi.

Restent toujours en lice trois autres clubs français : Angers, Caen et Grenoble.

Matches du 2e tour
Poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg

1. Orford Cantonniers-Rouen : 2-0 : Rouen est éliminé
   
2. Mexique-Angers : aujourd'hui à 18h45 (0h45 mardi matin)
3. Quebec Cartier-Caen : jeudi à 18h45 (0h45 vendredi matin)

Poule des "Gagnants" au Colisee Pepsi de Québec
Amos Caisse Desjardins-Grenoble : mercredi à 11h45 (17h45)

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Tournoi Pee Wee : autorisés aux mineurs !

Depuis samedi et jusqu'à dimanche, les benjamins d'Angers, de Caen, de Grenoble et de Rouen représentent la France au prestigieux tournoi Pee Wee de Québec. Un événement dans la vie de ces jeunes hockeyeurs qui ne joueront peut-être plus jamais devant un public de 15 000 personnes.

Wayne Gretzky, Mario Lemieux, Eric Lindros... Comment ne pas trembler de bonheur lorsque l'on patine sur la glace qu'ont rayée certains des plus grands joueurs du monde ! Comment réaliser à 11 ans ou à 12 ans le rêve que l'on est en train de vivre ? Car il s'agit bien d'un rêve que les benjamins de quatre clubs français sont en train de vivre tout éveillés depuis samedi. 2 300 jeunes représentant seize pays s'affrontent sur les glaces du Pepsi Coliseum de Québec (magnifique enceinte des derniers Mondiaux) et de l'Arpidrome de Charlesbourg pour aller le plus loin possible dans ce célébrissime tournoi Pee Wee qui fête ses 50 ans cette année.

En France, Angers, Caen, Grenoble et Rouen participent à l'événement dans la classe internationale C. Sur les cinq dernières années, Rouen a disputé la finale de cette catégorie en 2005, perdant contre Saint-Georges-Beauce 6 à 1, réalisant de cette manière la plus belle performance d'un club français. Pour sa seconde participation en cinq ans, l'équipe aimerait bien réitérer cet exploit :

" Nous essayerons d'aller le plus loin possible, explique Peter Almasy, le directeur sportif du Char (Centre de hockey amateur de Rouen). C'est une très belle expérience pour ces jeunes : ils apprennent à gérer mentalement les matches, ils jouent dans des conditions complètement différentes par rapport au hockey français, ils rencontrent des équipes qu'ils ne croiseront plus jamais dans leur vie. Sur un plan personnel, ils vivent dans les familles qui souvent ont des mini-patinoires devant leur maison, c'est très enrichissant."

Le but est simple : il y a deux premiers matches à jouer dont un voire deux à gagner sur les deux. Si vous gagnez le premier, vous poursuivez le tournoi dans la poule des "Gagnants", si vous le perdez, direction la poule des "Perdants". Le finaliste de chaque poule s'affronte pour remporter le tournoi dans sa catégorie. En cas de défaite sur les deux matches, l'équipe ne dispute ensuite que des rencontres amicales.

Résultats du 1er tour

1. Arby's Avalanche (USA)-Rouen : 2-0 (samedi à 20h50, 2h50 dimanche)
2. Grenoble-Charlesbourg (Can) : 1-0 (joué dimanche 10h20, 16h20)
3. Angers-Jäähonkä (Finl) : 3-4 (joué dimanche à 9h10, 15h10 en France)
4. Caen-Nunavik Nordiks (Can) : 2-5 (joué dimanche à 20h50, 2h50 lundi)

Matches du 2e tour
Poule des "Perdants" à l'Arpidrome de Charlesbourg

1. Orford Cantonniers-Rouen : aujourd'hui à 12h30 (18h30)
2. Mexique-Angers : aujourd'hui à 18h45 (0h45 mardi matin)
3. Quebec Cartier-Caen : jeudi à 18h45 (0h45 vendredi matin)

Poule des "Gagnants" au Colisee Pepsi de Québec
Amos Caisse Desjardins-Grenoble : mercredi à 11h45 (17h45)

Et si vous n'avez plus l'âge d'être en catégorie "Benjamins", peu importe, vous pouvez vous aussi vous mesurer aux Canadiens. Comment ? Un petit clic sur les cultissimes "Têtes à claques" et leur "Air hockey". Comme nous sommes très joueurs à Glacenews, nous avons bien entendu testé les trois niveaux : Raoul, fastoche... Natacha, plus dur... Turcotte, no comment !

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Amour, gloire et hockey...

En ce samedi 14 février, trois clubs de ligue Magnus ont pensé aux amoureux : Amiens, Angers et Grenoble. Où comment l'amour et le sport font bon ménage (financier...)

• cadeaux a gogo pour les Gothiques d'Amiens à condition d'acheter un palet pour participer au jeu du palet ou simple tirage au sort - gratuit- sur bulletin pour une table pour deux dans un restaurant.

• pack Célibataires à 10 € pour les Brûleurs de Loups (entrée pour le match Grenoble-Neuilly + entrée patinoire jusqu'à 1h du matin) qui étiquettent avec un sticker les célibataires (merveilleux signe de reconnaissance...) et organisent l'élection de Miss et Mister Célibataire, sûrement pour faire fondre la glace...

• la palme du romantisme revient aux Ducs d'Angers qui, grâce à une chaîne de fleuristes partenaire de la rencontre Angers-Rouen, distribuent gratuitement 400 roses à l'entrée la patinoire du Haras, sans oublier les affiches "collector" où cinq joueurs du club se mettent à nu avec cet édifiant slogan : "Qui a dit que le hockey n'aimait pas les femmes ?". Question : l'équation "hommes partiellement dénudés + femmes" posée par Angers sous-entendrait-elle que les femmes ne viennent au hockey que pour admirer ces messieurs, sans savoir apprécier le sport pour ce qu'il est et n'avoir aucune connaissance du jeu ? A méditer...

En cette Saint-Valentin, ces clubs rappellent à leur public que même l'amour a un prix puisqu'il faut bien le dire, ces actions ne leur coûtent pas un centime. Mieux, elles font fructifier leur capital "Image" et cela leur rapporte des spectateurs. C'est ce que l'on appelle de l'amour intéressé...

A Glacenews, on pense à tout le monde, célibataires ou non et pour l'occasion, on vous offre quelques proverbes sur l'amour plutôt décalés :

1. L'amour est fatal : il tombe aussi bien sur l'oignon que sur le lys (Danemark)
2. Offrir l'amitié à qui veut l'amour, c'est donner du pain à qui meurt de soif (Espagne)
3. L'amour donne l'esprit aux femmes et le retire aux hommes (Italie)
4. Comme l'amour est aveugle, il est très important de toucher (proverbe byzantin)
5. L'amour sans jalousie est comme un Polonais sans moustache (Pologne)

Comme il n'y a aucun joueur de ligue Magnus répondant au doux prénom de Valentin à qui souhaiter une bonne fête (on a vérifié !), voici un article très instructif sur l'origine de la Saint-Valentin paru dans le Monde d'aujourd'hui. Le sport mène à tout !

Et pour finir, Glacenews vous offre un cadeau bonus ou comment des hockeyeurs, ici Osgood et Draper des Reds Wings, savent aussi se montrer tendres... Attention, ça va très vite !

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L'heure du bilan

De retour en France, le sélectionneur de l'équipe de France, Dave Henderson, dresse un rapide bilan du tournoi de qualification d'Oslo pour les Jeux olympiques de Vancouver 2010, auxquels les Tricolores ne participeront pas pour la 2e fois consécutive.

Glace Info : Avant d'évoquer le bilan du tournoi, revenons sur le dernier match de la France perdu contre le Kazakhstan sur le score de 8 à 2. Comment expliquez-vous ce résultat ?

Dave Henderson : Il faut dire que la motivation des garçons n'était plus la même au lendemain de l'élimination. Nous avons tenu le jeu jusqu'à 2-0. Après, les jambes étaient plus lourdes, les joueurs ont eu du mal à se concentrer. A 4-0, c'était mission impossible de revenir au score. Nous avons laissé quelques espaces que les Kazakhs ont su exploiter. Le Kazakhstan a fait un excellent match contre nous et mérite amplement sa victoire.

G. I. : Lors de ce dernier match, on a pu remarquer l'absence de Laurent Meunier et de Teddy Trabichet. Quelles en sont les raisons ?

D. H. : Teddy Trabichet s'est un peu abîmé la main au cours du 2e tiers contre la Norvège. Il s'est pris un gros slap qui a entraîné une contusion importante. Quant à Laurent Meunier, il est mal tombé à la fin du match et a ressenti une douleur à l'épaule. Vu que le dernier match n'avait pas d'enjeu, nous avons fait le choix de ne pas les faire jouer afin qu'ils se rétablissent au plus vite pour leurs championnats respectifs. Ce sont des blessures légères qui ne nécessitent que quelques jours de repos.

G.I. : Quel bilan tirez-vous de ce tournoi de qualification ?

D.H. : La première chose que je retiens est le fait que l'équipe a fait deux très bons matches contre deux adversaires qui occupent les 12e et 13e places dans la hiérarchie mondiale et qui disputent régulièrement depuis quelques années les play-offs des Mondiaux. Faire 3-2 contre la Norvège est un bon résultat, d'autant que les Norvégiens considèrent que l'équipe présente au tournoi est la meilleure qu'ils aient jamais eue ! Le groupe a développé un jeu intéressant et a su faire jeu égal avec ces deux nations.

La deuxième chose que je retiens est que nous avons peut-être manqué de poids physique dans cette compétition. Vincent Bachet, Yorick et Sacha Treille pèsent lourds sur 60 minutes de matches. Il faut maintenant que ces trois joueurs blessés récupèrent bien afin que nous puissions les compter parmi nous pour les Mondiaux qui se dérouleront à Berne, en avril prochain.

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La France patine... La Norvège à Vancouver !

Après un bon début de tournoi jeudi face au Danemark, la France s'est effondrée cet après-midi face au Kazakhstan (8-2). France qui pleure, Norvège qui rit, après avoir décroché son billet, ce soir face au Danemark (5-3) pour les Jeux olympiques de Vancouver en 2010... après 16 ans d'absence. Ses derniers Jeux datent en effet de 1994 et se déroulaient à... Lillehammer, en Norvège.

Dave Henderson avait déclaré hier dans ce blog que le dernier match contre les Kazakhs serait difficile (lire l'article : "Une grosse déception"). Mais à ce point... Comment expliquer cette lourde défaite concédée par les Tricolores ? Quelles conséquences en tirer ? N'ayant pu joindre le sélectionneur des Bleus à l'issue de la rencontre, Glacenews vous proposera un bilan complet du tournoi dès le retour en France de l'équipe.

Ce que l'on peut d'ores et déjà retenir de cette ultime confrontation, c'est l'absence de l'attaquant Laurent Meunier et du jeune défenseur Teddy Trabichet, (cliquer sur "Lineups") respectivement remplacés par Jonathan Zwikel sur le 2e bloc et par Antonin Manavian sur le 3e bloc.

A noter aussi le changement prévisible dans la cage de Fabrice Lhenry, au profit de Eddy Ferhi, le portier des Brûleurs de loups de Grenoble.

Et contrairement aux deux matches précédents, les deux buts français ont été inscrits, non pas par les joueurs du 1er bloc, mais, d'une part, en supériorité numérique, à 5 contre 3 et à 5 contre 4, et d'autre part, par François Rozenthal, assisté de Julien Desrosiers et de Nicolas Besch (37'16) et par Luc Tardif, assisté de Damien Raux (53'42). (cliquer sur "Summary")

Quant à la Norvège, elle a fait un véritable sans-faute en remportant tous ses matches dans une patinoire surchauffée, dont le dernier sur le score de 5-3 face au Danemark. A retenir de ce tournoi, le trio infernal du 1er bloc : Thorensen, joueur de NHL qui évolue cette saison à Lugano, Vikingstad qui fait une belle carrière dans l'élite allemande et Skroder qui évolue dans le top du top suédois. Décisifs contre le Kazakhstan, ils ont inscrit deux buts sur trois face à la France et en marquent encore trois sur cinq contre le Danemark.

La France termine le tournoi de qualification en dernière position.

Résultats de la 3e et dernière journée :

Kazaksthan-France : 8-2
Norvège-Danemark : 5-3

Classement

• Norvège 9 points* (3 + 3 +3)
  
• Danemark 4 points (1 + 3 + 0)
  
• Kazaksthan 3 points (0 + 0 +3)
  
• France 2 points (2 + 0 + 0)
  

* points :

• victoire : 3 points
• victoire en prolongation : 2 points
• défaite en prolongation : 1 point
• défaite sèche : 0 point

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Les Bleus dans la presse made in "Norway" - chapitre 2

Sport national en Norvège, le hockey sur glace se doit d'être en Une de la presse quotidienne locale (contrairement à la presse française...). Après un premier passage en revues lors de la première journée du tournoi de qualification, Glacenews vous met à nouveau à la page norvégienne, même si pour l'équipe de France, la page des J.O de Vancouver 2010 est définitivement tournée...

Lu dans le quotidien Aftenposten
Norge slo Frankrike : la Norvège bat la France
On apprécie le côté très sobre des titres du journaliste Espen Hansen qui explique en sous-titre que la Norvège rencontre souvent des difficultés contre la France, mais que cette fois-ci, elle a pris le dessus et que tout se jouera contre le Danemark. Il parle aussi d'une histoire de prince du Danemark qui devrait assister au match...

On y apprend aussi que le joueur norvégien Olimb a été sérieusement touché à la cheville (Olimb kan vaere alvorlig) et qu'il a dû être évacué de la glace en civière pour cause de cheville fracturée. Sur la photo, on voit bien qu'il a mal, le garçon.

Lu dans le VG Nett

Johansen : Det blir en finale : Johansen : " Ce sera une magnifique finale"
Autre quotidien, autre ton avec le style beaucoup plus imagé du journaliste Anders Park Framstad, qui n'hésite pas à qualifier de "thriller à suspense" le face-à-face Norvège-Danemark (nabothrillermot Danmark). En sous-titre, Framstad ne parle pas, lui, de tête couronnée, mais prend "son" pied : "L'équipe norvégienne a déjà un pied aux J.O grâce à sa victoire contre la France".

Pour l'anecdote, aucune ligne ou presque sur la rencontre du Danemark contre le Kazakhstan et encore moins de photos... Imaginez les gros titres si jamais la Norvège se qualifiait ! Et nos petits Français alors ? Bah... rien. Pas un mot.

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Dave Henderson : "Une grosse déception"

En perdant son 2e match contre la Norvège sur le score de 2 à 3, ce soir, à Oslo, la France ne se qualifie pas pour les Jeux olympiques de Vancouver. Le sélectionneur des Bleus, Dave Henderson, parle d'une grosse déception des joueurs et du staff, malgré un match fort en intensité et bien meilleur que celui disputé contre les Danois (remporté jeudi 2-1 ap.)

Glace Info : Quel est votre sentiment après ce match ?

Dave Henderson : Nous sommes déçus. Nous avons fait un beau match, mais la déception est là, pour les joueurs, pour le staff.

G. I. : Qu'est-ce qui a fait la différence ?

D. H. : Nous avons pris le 3e but en supériorité numérique (37'43) qui nous a fait mal. Et nous n'avons pas réussi à mettre, nous, le 3e pour égaliser. Fabrice Lhenry, comme toute l'équipe, a fait un très beau match, fort en intensité. Nous avons beaucoup mieux joué que contre les Danois.

G.I. : 3e but que la France encaisse deux minutes à peine après le 2e but marqué par Vikingstad... Que s'est-il passé ? Un moment de flottement sur la glace après ce 2e but norvégien ?

D. H. : Nous commençons à bien maîtriser le match, Pierre-Edouard Bellemare revient à l'égalisation (27'15). On fait une erreur défensive dans notre zone qui nous coûte le 2e but (35'52). Quant au 3e, on le prend sur un contre. On ne se replie pas assez vite (37'43). Ensuite, on a pressé pendant tout le reste du match. Olivier Coqueux revient à 2-3, mais ce n'est pas suffisant.

G.I. : Face au Danemark et à la Norvège, les quatre buteurs appartiennent au 1er bloc. Pourquoi les autres ont-ils été moins performants ?

D. H. : Ce 1er bloc est composé de joueurs d'expérience. Sébastien Bordeleau, Pierre-Edouard Bellemare, Olivier Coqueux font partie des meilleurs buteurs de leur championnat, voire sont les meilleurs buteurs de leur championnat comme Pierre-Edouard. Ce sont des garçons très habiles, portés vers l'offensive. Mais si vous regardez bien, les buts de la Norvège ont aussi été marqués par le 1er bloc.

G. I. : En détaillant la feuille de match, on constate que vous avez modifié vos blocs par rapport à la rencontre contre le Danemark. Qu'attendiez-vous de ce changement ?

D. H. : Nous avons changé les blocs* dans le dernier tiers face au Danemark et cela nous a porté chance. Donc, nous avons décidé de continuer avec les mêmes aujourd'hui.

G.I. : Vous disputez demain votre dernier match du tournoi face aux Kazakhstan. Comment l'envisagez-vous ?

D. H. : C'est un match à ne surtout pas prendre à la légère. Il sera difficile. C'est une bonne équipe. Elle n'a pas gagné dans le tournoi, mais chaque match se joue à un point quasiment comme le montrent les résultats. Les joueurs seront présents. Il seront prêts car ils ont la fierté de porter le maillot et ils donneront tout sur la glace, encore une fois, pour remporter cette rencontre.

G. I. : Qui sera dans les buts ? Eddy Ferhi ?

D. H. : A cette heure, la décision n'est pas encore prise.

* Le 2e bloc avec Gras-Meunier-Rozenthal passe en 3e, Tardif remplaçant Meunier. Le 3e remonte en 2e avec Desrosiers, Meunier, restant dans le 2e bloc et Hecquefeuille, qui passe du 4e au 2e bloc. Dans le 4e, on retrouve Romand et Zwikel, auparavant tous deux dans le 3e bloc aux côtés de Desrosiers.

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J.O ? K.O.

C'était le match à ne pas perdre. Les Bleus l'ont perdu et avec lui, leur unique chance de se qualifier pour les Jeux olympiques de Vancouver de 2010. La France s'est inclinée ce soir à 19h face à la Norvège 2-3.

Ô rage, ô désespoir, ô Norvégiens ennemis... Les Tricolores ont une nouvelle fois raté leur rendez-vous avec les Jeux olympiques. A croire que les dieux de l'Olympe leur font payer, et cher, leur ascension vers le toit du monde du hockey (le groupe A). Car sur le papier, les Bleus avaient tout pour l'emporter. Certes, une victoire à l'arrach' face au Danemark (2-1 en prolongation), mais un gardien, Fabrice Lhenry, meilleur que Grotnes (96,30 % de réussite contre 95,24 % pour le Norvégien), une efficacité de 12,50 % (pourcentage de buts sur le nombre total de tirs) contre 8,33 % pour les Norvégiens et un taux de réussite en powerplay de 20 % contre 16,67 % pour les Scandinaves.

Alors ? Alors, les Tricolores ont subi le rouleau-compresseur, le frigidaire, le déménageur Vikingstad, aidé de son complice Thorensen (lire le post précédent "Les Bleus dans la prese made in Norway"). Deux de ceux qui forment la terrible, la redoutable "Superrenka", le trio "Super-Classe" comme l'a baptisé la presse norvégienne. Vikingstad qui ouvre le score à 17'32 (ass. Thorensen). Qui en remet une couche à 35'52 (toujours assisté de Thorensen), huit minutes après le but égalisateur de Pierre-Edouard Bellemare (27'15). Qui communique son énergie à Ask qui marque le 3e but à 4 contre 5, moins de deux minutes à peine du 2e but (37'43)...

Mais comme le soulignait Dave Henderson dans ce blog, ses hommes n'ont rien lâché. Prenant très peu de pénalités et donnant le tout pour le tout, à l'image d'Olivier Coqueux, le "vétéran" qui d'entrée de dernière période, raccroche l'équipe de France à une lueur d'espoir (2-3 à 40'17). Alors que Coqueux et Besch écopent de deux prisons en fin de rencontre (49'52 et 54'17), la défense tricolore tient le choc. Encaisse les coups. Serre les dents. Lhenry délaisse sa cage à 54 secondes de la fin. Mais le temps s'écoule vite, trop vite pour que les Bleus puissent accrocher les points nécessaires à la poursuite de leur rêve.

Devant leur public, les Norvégiens assoient leur position en tête du groupe. Seuls les Danois qu'ils rencontreront demain, dès 17h, pourront leur inquiéter.

Résultats de la 2e journée :

Danemark-Kazaksthan : 3-1
France-Norvège : 2-3

Classement

• Norvège 6 points*
• Danemark 4 points
• France 2 points
• Kazaksthan 0 point

* points :

• victoire : 3 points
• victoire en prolongation : 2 points
• défaite en prolongation : 1 point
• défaite sèche : 0 point

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Le Kazaksthan tourne... casaque

Avec une 2e défaite enregistrée cet après-midi face au Danemark (2-3), le Kazaksthan est définitivement éliminé du tournoi de qualification aux Jeux olympiques de Vancouver de 2010. Le Danemark, quant à lui, reste en course.

Dans le match clé opposant ce soir, à 17h la France à la Norvège, il y aura bien sûr dans les gradins tout un public dédié à la cause norvégienne, mais également tout le staff de la formation danoise, cette dernière affrontant en 2e partie demain la Norvège.

Pourquoi ? Parce qu'en cas de victoire éventuelle de la Norvège (6 points ou 5 points en victoire en prolongation), le Danemark (4 points sur ses deux premiers matches) pourrait se qualifier pour les Jeux en battant à son tour les Norvégiens (7 points). En revanche, il suffit que la France gagne, même en prolongation, la Norvège (et qu'elle remporte son dernier match, demain, face au Kazakhstan) pour mettre le Danemark hors-course.

Petit tableau récapitulatif (en cas de victoire de la France, demain, sur le Kazaksthan) :

• La Norvège bat la France :

Norvège : 6 points (3 + 3)
France : 5 points (2 + 0 + 3)
Danemark : 4 points (1 + 3) = le Danemark doit battre la Norvège dans le dernier match sans prolongation (= 7 points, la Norvège = 6)

• La Norvège bat la France en prolongation
  

Norvège : 5 points (3 + 2)
France : 6 points (2 +1+ 3)
Danemark : 4 points (1+3) = le Danemark doit battre la Norvège sans prolongation (= 7 points, Norvège = 5 points)

• La France bat la Norvège
  

Norvège : 3 points (3 + 0)
France : 8 points (2 + 3 + 3)
Danemark : 4 points (1 + 3) = même en battant la Norvège, le Danemark ne passe pas (= 7 points, Norvège = 3 points)

• La France bat la Norvège en prolongation

Norvège : 4 points (3 + 1)
France : 7 points (2+2+3)
Danemark : 4 points (1+3) = le Danemark doit battre la Norvège sans prolongation et se retrouve à égalité de points avec la France (6 points), mais la France ayant battu le Danemark devrait se qualifier pour Vancouver.

Le destin des Danois est entre les crosses des Tricolores qui n'ont pas le droit à l'erreur pour rester en lice en vue des J.O de Vancouver.

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Les Bleus dans la presse made in "Norway"

Après la belle victoire des Bleus contre le Kazakhstan, Glacenews vous emmène en Norvège, direction la presse locale avec deux quotidiens d'Oslo qui parlent, bien sûr, de leurs héros nationaux, mais aussi des "courageux Français" ! Petit passage en revues.

A Oslo, deux quotidiens ont retenu notre attention : le Aftenposten et le VG Nett. On y parle de beaucoup de choses, mais aussi de hockey en UNE (ça fait rêver...) !

Voici quelques liens pour vous montrer comment est traité le tournoi de qualification, photos à l'appui. A Glacenews, on est sympa. On vous a même traduit les titres...

Quotidien Aftenposten :

• "Superrekka viste krefter" : le trio "Super-Classe" en pleine démonstration de force
  

• "Norge slo Kasakhstan" : la Norvège bat le Kazakhstan

• "Danskene rotet seg bort" : les Danois ne sont pas parvenus à revenir

avec une "magnifique" photo de Sébastien Bordeleau et en sous-titre : le Danemark a mieux commencé le match, mais n'a pas réussi à exploiter sa supériorité. La France a donc été la meilleure pour remporter le match. On peut lire aussi quelque part dans l'article que les Danois ont été battus par de "courageux Français".

• "Norge leder gruppen" : la Norvège en tête de son groupe

Quotidien VG Nett

• "Superrenka" senket Kasakhstan" : le trio "Super-Classe" a coulé le Kazakhsthan

Les Bleus devront se méfier demain de ce "Superrenka" composé de Thorensen, Vikingstad et Skroder...

• "Frankrike vant etter forlengning" : La France gagne en prolongation

Plus sobre...

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La France en deuxième position

A la fin de cette première journée de tournoi de qualification pour les Jeux olympiques de Vancouver en 2010, voici l'ensemble des résultats :

France-Danemark : 2-1 après prolongation
Norvège-Kazakhstan : 2-1

Classement :

1. Norvège 3 points*
2. France 2 points
3. Danemark 1 point
4. Kazakhstan 0 point

D'où l'importance d'autant plus capitale pour les Tricolores qui devront absolument battre la Norvège samedi dès 17h afin de conforter une éventuelle première place, leur victoire en prolongation étant une bonne opération qui réduit cependant considérablement leur marge d'erreur...

* points :

• victoire : 3 points
• victoire en prolongation : 2 points
• défaite en prolongation : 1 point
• défaite sèche : 0 point

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Dave Henderson : "Du mal à contrer les Danois"

Après la victoire des Bleus face au Danemark aujourd'hui à 17h sur le score de 2 à 1 en prolongation, Dave Henderson nous livre un rapide commentaire.

Glace Info : Quelles sont vos impressions sur la rencontre ?

Dave Henderson : Nous avons rencontré des difficultés dans le premier tiers. A aucun moment, nous n'avons été en mesure de contrer les Danois. Nous avons vraiment eu du mal à les contrer. Puis, dans les deux dernières périodes, nous avons fait quelques réglages et avons pu faire jeu égal avec eux.

G. I. : Comment expliquez-vous ce mauvais départ ?

D. H. : C'est comme à chaque fois que nous ne jouons pas de matches amicaux avant les tournois. Nous avons du mal à rentrer dedans... Aujourd'hui, une fois de plus.

G. I. : Vous parliez il y a quelques jours du jeu de puissance qui s'est amélioré. Baptiste Amar marque le but de la victoire en supériorité...

D. H. : Là aussi, dans le premier tiers, là où nous avons eu de nombreuses occasions de marquer, le jeu de puissance a eu du mal à se mettre en place. Au fur et à mesure du match, il s'est amélioré jusqu'à pouvoir l'installer complètement sur la dernière pénalité du Danois, en prolongation.

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