Retour de la rubrique "Vite dit, c'est vendredi !". Une parenthèse ludique juste avant le week-end pour une actualité décalée au détour d'une citation, d'un "top" - "pas top", d'un chiffre...
Pas de "Vite dit, c'est vendredi" à cause de la 11e journée de ligue Magnus. Le retard est rattrapé.
LE QUI QU'A DIT ?
Chaque semaine, Glacenews extrait une citation parue dans la presse. A vous de voter en haut, à gauche du blog, pour en deviner l'auteur.
Aujourd'hui : "Il est intelligent et voit bien le jeu".
P.S : il faut bien sûr lire "Josselin BESSON" et non "Bessin" pour le joueur de Morzine-Avoriaz.
A vos votes ! Réponse vendredi prochain.
Réponse du dernier "Qui qu'a dit ?" : la citation "Il reste 17 matches à jouer et il n'y aucune raison de paniquer ou de tout remettre en question" n'a pas été énoncée par Jay Varady, entraîneur d'Angers, comme l'ont pensé 37 % d'entre vous, mais bien par Daniel Bourdages, coach de Strasbourg, comme l'ont trouvé 18 % d'entre vous. Source : Dernières nouvelles d'Alsace, daté du 21 novembre 2011, suite à la défaite des Alsaciens contre Briançon.
LE CHIFFRE : 1
C'est au 1er but inscrit par les Drakkars de Caen, demain face à Strasbourg, que le public pourra lancer sur la glace les peluches. Cette tradition initiée par Calgary, au Canada, et reprise par les Gothiques d'Amiens, permet de collecter des peluches pour les enfants défavorisés au profit du Secours populaire français. Espérons pour les enfants que Vladimir Hiadlovsky ne réussisse pas un blanchissage... Une très belle initiative qui, et c'est bien dommage, a encore beaucoup de mal à percer dans les autres clubs.
C'EST TOP !
Ou comment notre "Brice de Nice" national fait des émules au Canada. Et pas avec n'importe qui, s'il vous plaît ! Le gardien de Montréal, Carey Price, s'est prêté au jeu de bonne grâce. Ce clin d'oeil au "French surfeur" lui rapportera-t-il des votes supplémentaires pour le Match des Etoiles ? Be nice with Price !
PAS TOP !
Décidément, les pères de joueurs ont du mal à garder leur calme pendant que leurs progéniture est sur le terrain. Après le coup de sang du père d'Harinordoquy, international de rugby biarrot, intervenu pour défendre son fils dans le match opposant Biarritz à Bayonne, voilà un autre exemple, plus dangereux, en Russie, en hockey sur glace. Là-bas, le père, mécontent après l'entraîneur, a carrément visé ce dernier avec un fusil. L'homme en état d'ivresse n'a pas atteint sa cible, mais a malheureusement blessé un jeune joueur de 16 ans...
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