Caen accueillera le match préparatoire France-Italie en avril 2012.
Que faut-il de plus à la fédération française de hockey sur glace pour se convaincre du savoir-faire caennais en matière d'organisation ?
Rien ! Car en effet après l'organisation des championnats du monde de D2 de hockey sur glace féminin, le club bas-normand a réussi haut la main son examen de passage.
La fédération française a donc décidé de confier l'accueil aux Caennais du match France-Italie.
Ce dernier aura lieu en avril, dans l'antre des Drakkars.
Cette rencontre est inscrite au programme des matches préparatoires de l'équipe nationale dans le cadre des Mondiaux d'Helsinki de 2012.
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jeudi 30 juin 2011
mardi 28 juin 2011
Dijon mise sur la jeunesse française
Vendredi, le club de Dijon a procédé à son assemblée générale annuelle. Son président Olivier Ritz a communiqué les grandes lignes directrices à suivre par les Ducs la saison prochaine. Entretien. Guillemette Flamein : quelles sont les perspectives des Ducs ?
Olivier Ritz : il s'agit d'abord de continuer le tableau de marche mis en place il y a trois ans, à savoir progresser de 100 000 euros chaque année. Ensuite, nous avons souhaité avoir un effectif composé d'un tiers de joueurs étrangers et de deux tiers de joueurs français, avec un emontée en puissance des joueurs "made in Dijon". Deux d'entre eux seront titulaires la saison prochaine, à savoir Nicolas Ritz (en photo) et Anthony Guttig. Deux autres jeunes intègreront le groupe. Notre volonté est de donner du temps de glace à de jeunes joueurs qui ont un potentiel très intéressant tel Cédric Custosse, par exemple.
G. F. : après une collaboration de plus de 10 ans, vous vous séparez de l'entraîneur Daniel Maric. Pour quelles raisons ?
O. R. : plutôt que de séparation, je parlerai d'évolution. Notre philosophie est de privilégier les joueurs français qui seront majoritaires dans le groupe. Et puis, comme dans toute entreprise, il y a aussi l'usure à prendre en compte. Notre nouvel entraîneur Jarmo Tolvanen est Finlandais. La formation et l'intégration de jeunes joueurs font partie intégrante de sa vision du hockey et de son projet. Il a évolué dans des championnats différents en Suède, au Danemark, en Suisse. Il a entraîné l'équipe nationale de Finlande des moins de 20 ans. Son expérience en matière de formation des jeunes nous sera précieuse.
G. F. : dans les buts, on retrouve un certain Ramon Sopko, bien connu du championnat français. Quels sont vos objectifs sportifs ? O. R. : notre objectif est d'être champion, forcément ! En 2010/2011, nous nous sommes pris beaucoup de buts et il nous fallait un gros gardien dans la cage cette saison. Jarmo Tolvanen a voulu non plus avoir deux gardiens en concurrence, mais un gardien titulaire, capable d'être le dernier rempart et de sauver un match s'il le faut, et un autre, remplaçant. Pour en revenir à nos objectifs, nous visons une place parmi les six premiers du championnat et plus, si affinités et pourquoi pas revenir à Bercy, en finale de la coupe de France. Car quand vous l'avez jouée une fois, vous n'avez qu'une envie, c'est d'y retourner !
© crédit photo Nicolas Ritz - club des Ducs de Dijon
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lundi 27 juin 2011
Ligue Magnus : meilleurs marqueurs des play-offs
Après celui des joueurs décisifs, attaquants et défenseurs compris, voici le palmarès des meilleurs marqueurs des play-offs de ligue Magnus depuis la saison 2003-2004. Voici le Top 15 des joueurs ayant marqué le plus de buts en play-offs tout au long de leur carrière en ligue Magnus. Le meilleur joueur encore actif est Carl Mallette avec 34 buts à son actif.
Ce palmarès est réalisé à partir des feuilles de match publiées par la fédération française de hockey sur glace. Ce Top 15 commence à la saison 2003/2004 jusqu'à la dernière qui s'est achevée en avril.
Il ne comprend pas cependant les saisons 2004/2005 et 2005/2006, les statistiques étant incomplètes avec la non-informatisation à l'époque de certaines patinoires telles celles de Mulhouse, Dijon, Angers et Morzine-Avoriaz.
1. Carl Mallette : 34 buts (Canada)
2. Marc-André Thinel : 30 buts (Canada)
3. Julien Desrosiers : 27 buts (France)
4. Tomas Baluch : 24 buts (Slovaquie)
5. Eric Doucet : 20 buts (Canada)
6. Jonathan Zwikel : 19 buts (France)
7. Eric Fortier : 19 buts (Canada)
8. Jonathan Bellemare : 19 buts (Canada)
9. Edo Terglav : 17 buts (Slovénie)
10. Pierre-Luc Laprise : 17 buts (Canada)
11. David Brissette Cayer : 15 buts (Canada)
12. Alexandre Gaudreau Rouleau : 15 buts (Canada)
13. François Rozenthal : 14 buts (France)
14. Mitja Sivic : 14 buts (Slovénie) (en photo)
15. Luc Tardif junior : 13 buts (France)
©crédit photo : Simon Plestenjak/Sportal
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lundi 20 juin 2011
Entre l'IIHF et la France, le grand amour...
L'IIHF a de nouveau confié à la France l'organisation de la finale de la coupe d'Europe Continentale. Ces quatre dernières années, elle a ainsi choisi à trois reprises l'Hexagone pour les phases finales de cette compétition. Explications avec Rob Van Rijswijk, directeur des compétitions de clubs au sein de l'IIHF.
Guillemette Flamein : pourquoi la France organise-t-elle depuis quatre ans l'une des demi-finales et la finale de la coupe Continentale ?
Rob Van Rijswijk : nous lui en confions l'organisation en référence au fait que la France, d'une part, est une nation grande supportrice de la coupe Continentale et que d'autre part, son rang et son maintien au sein de l'élite mondiale lui permettent d'organiser des compétitions de cette envergure.
G. F. : quels arguments cette fois-ci ont joué en faveur de la France pour l'obtention de la finale ?
R. V. R. : en plus de soutenir depuis le début cette coupe d'Europe, la France y participe de façon régulière depuis le début. La présentation faite par le club des Dragons de Rouen a été instructive et de ce fait acceptée par l'IIHF ainsi que par les équipes participant à la commission d'attribution de la finale de la coupe d'Europe, qui s'est déroulée le 4 juin dernier, à Budapest.
G. F. : en quoi la candidature de Rouen a-t-elle séduite les membres réunis à Budapest ?
R. V. R. : la raison principale pour laquelle nous avons accepté la demande de Rouen est que ce club a disputé la finale à Minsk en janvier dernier. De plus, Rouen accueille la finale pour la 2e fois. Nous savons que le Rouen Hockey Elite possède toutes les conditions nécessaires pour organiser un événement de cette ampleur. Tous les clubs présents à la commission, à Budapest, partageaient le même point de vue et sont tombés d'accord pour confier à nouveau la finale à Rouen.
NDLR : la finale de la coupe d'Europe Continentale aura lieu du 13 au 15 janvier 2012 à Rouen. Le Yunost Minsk, champion d'Europe en titre 2011, est qualifié d'office aux côtés des Dragons de Rouen.
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Guillemette Flamein : pourquoi la France organise-t-elle depuis quatre ans l'une des demi-finales et la finale de la coupe Continentale ?
Rob Van Rijswijk : nous lui en confions l'organisation en référence au fait que la France, d'une part, est une nation grande supportrice de la coupe Continentale et que d'autre part, son rang et son maintien au sein de l'élite mondiale lui permettent d'organiser des compétitions de cette envergure.
G. F. : quels arguments cette fois-ci ont joué en faveur de la France pour l'obtention de la finale ?
R. V. R. : en plus de soutenir depuis le début cette coupe d'Europe, la France y participe de façon régulière depuis le début. La présentation faite par le club des Dragons de Rouen a été instructive et de ce fait acceptée par l'IIHF ainsi que par les équipes participant à la commission d'attribution de la finale de la coupe d'Europe, qui s'est déroulée le 4 juin dernier, à Budapest.
G. F. : en quoi la candidature de Rouen a-t-elle séduite les membres réunis à Budapest ?
R. V. R. : la raison principale pour laquelle nous avons accepté la demande de Rouen est que ce club a disputé la finale à Minsk en janvier dernier. De plus, Rouen accueille la finale pour la 2e fois. Nous savons que le Rouen Hockey Elite possède toutes les conditions nécessaires pour organiser un événement de cette ampleur. Tous les clubs présents à la commission, à Budapest, partageaient le même point de vue et sont tombés d'accord pour confier à nouveau la finale à Rouen.
NDLR : la finale de la coupe d'Europe Continentale aura lieu du 13 au 15 janvier 2012 à Rouen. Le Yunost Minsk, champion d'Europe en titre 2011, est qualifié d'office aux côtés des Dragons de Rouen.
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mardi 14 juin 2011
Pierre Pousse : "L'équipe de France A', un bon laboratoire"
Depuis dimanche et jusqu'au 21 juin, l'équipe de France A' est en stage à Font-Romeu. Pierre Pousse, sélectionneur-adjoint de Dave Henderson revient sur l'utilité de ce regroupement et ses perspectives d'avenir.
Guillemette Flamein : quelle est la vocation de ce stage ?
Pierre Pousse : depuis trois ans, Dave et moi consacrons l'été aux jeunes. Nous avons passé les deux dernières années à répertorier les jeunes qui ne sont plus en EDF moins de 20 ans, mais qui ne sont pas non plus encore en équipe senior. Nous avons recensé 35 joueurs et on travaillait en deux groupes. Cette année, nous avons resserré le nombre à 23 garçons âgés au plus de 23 ans.
G. F. : comment se déroule le stage ?
P. P. : c'est très dur physiquement. Il y a un gros travail individuel à fournir. Nous mettons les joueurs en situation, en un contre un, nous reprenons tous les gestes techniques de base. Nous les faisons travailler d'une manière différente de celle qu'ils ont en club.
Depuis 3-4 ans, nous partons en tournée en République tchèque et en Slovaquie à la fin du mois de juillet pour disputer quatre matches de haut niveau face à de très bonnes équipes locales. Ces 4 matches sont très rapprochés, dans une configuration proche de celle des championnats du monde. Cela nous permet de tester ces joueurs dans des conditions similaires.
G. F. : quel avenir ont ces joueurs ensuite en équipe nationale senior ?
P. P. : leur avenir dépend d'eux ! Ce regroupement permet de travailler avec des joueurs qu'on n'a encore jamais vus et d'autres qui sont en maturation. C'est un bon laboratoire pour nous car ce contexte est différent de celui du club. On apprend à connaître chacun sur un plan sportif, mais également humain. Ce dernier aspect est très important pour pouvoir construire un groupe.
Depuis les années 1990, l'équipe de France tient son rang au plus haut niveau et ses résultats grâce à ses qualités de coeur. On n'a jamais été les meilleurs techniciens ni les meilleurs patineurs, mais on a du coeur. C'est ce qui fait que des garçons comme Meunier, Bellemare, Hecquefeuille sont des leaders car ils mettent tout leur coeur sur la table. On donnera en retour à l'individu que ce qu'il a donné sur la glace et dans le vestiaire et non sur sa réputation.
G. F. : les Mondiaux sont à peine terminés que vous êtes déjà repartis en préparation. Comment appréhendez-vous la nouvelle formule des Mondiaux 2012 ?
P. P : Dave et moi y sommes assez favorables car nous sommes certains de jouer 7 matches. Mais il faudra pouvoir les encaisser. On constate qu'après 3 très bons matches joués, on a du mal à finir nos Mondiaux... Cela change la donne car avant, il fallait gagner le bon match sur les 3 à jouer dans la poule pour se qualifier au 2e tour.
En 2012, si l'on bat d'entrée de jeu le Kazakhstan, on est quasiment assuré de se maintenir et si, ensuite, on bat le Bélarus,on peut même, pourquoi pas, refaire un exploit et peut-être se qualifier pour les quarts de finale !
G. F. : de quelle façon cette nouvelle formule influencera-t-elle les regroupements France ?
P. P. : on ne peut pas faire plus de regroupement, on est au maximum avec quatre par an, imposés par l'IIHF, en septembre, novembre, décembre et février. Il faudrait améliorer la qualité des rencontres internationales en jouant contre des grosses nations. Mais il faudrait surtout densifier la ligue Magnus en en augmentant le nombre de matches !
La coupe de la Ligue et la coupe de France, c'est bien, mais si vous n'êtes pas qualifiés, vous ne jouez pas. Renforcer la ligue Magnus est indispensable si l'on veut que les joueurs prennent l'habitude de disputer au moins deux matches par semaine. A l'image du rythme des autres gros championnats européens !
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Guillemette Flamein : quelle est la vocation de ce stage ?
Pierre Pousse : depuis trois ans, Dave et moi consacrons l'été aux jeunes. Nous avons passé les deux dernières années à répertorier les jeunes qui ne sont plus en EDF moins de 20 ans, mais qui ne sont pas non plus encore en équipe senior. Nous avons recensé 35 joueurs et on travaillait en deux groupes. Cette année, nous avons resserré le nombre à 23 garçons âgés au plus de 23 ans.
G. F. : comment se déroule le stage ?
P. P. : c'est très dur physiquement. Il y a un gros travail individuel à fournir. Nous mettons les joueurs en situation, en un contre un, nous reprenons tous les gestes techniques de base. Nous les faisons travailler d'une manière différente de celle qu'ils ont en club.
Depuis 3-4 ans, nous partons en tournée en République tchèque et en Slovaquie à la fin du mois de juillet pour disputer quatre matches de haut niveau face à de très bonnes équipes locales. Ces 4 matches sont très rapprochés, dans une configuration proche de celle des championnats du monde. Cela nous permet de tester ces joueurs dans des conditions similaires.
G. F. : quel avenir ont ces joueurs ensuite en équipe nationale senior ?
P. P. : leur avenir dépend d'eux ! Ce regroupement permet de travailler avec des joueurs qu'on n'a encore jamais vus et d'autres qui sont en maturation. C'est un bon laboratoire pour nous car ce contexte est différent de celui du club. On apprend à connaître chacun sur un plan sportif, mais également humain. Ce dernier aspect est très important pour pouvoir construire un groupe.
Depuis les années 1990, l'équipe de France tient son rang au plus haut niveau et ses résultats grâce à ses qualités de coeur. On n'a jamais été les meilleurs techniciens ni les meilleurs patineurs, mais on a du coeur. C'est ce qui fait que des garçons comme Meunier, Bellemare, Hecquefeuille sont des leaders car ils mettent tout leur coeur sur la table. On donnera en retour à l'individu que ce qu'il a donné sur la glace et dans le vestiaire et non sur sa réputation.
G. F. : les Mondiaux sont à peine terminés que vous êtes déjà repartis en préparation. Comment appréhendez-vous la nouvelle formule des Mondiaux 2012 ?
P. P : Dave et moi y sommes assez favorables car nous sommes certains de jouer 7 matches. Mais il faudra pouvoir les encaisser. On constate qu'après 3 très bons matches joués, on a du mal à finir nos Mondiaux... Cela change la donne car avant, il fallait gagner le bon match sur les 3 à jouer dans la poule pour se qualifier au 2e tour.
En 2012, si l'on bat d'entrée de jeu le Kazakhstan, on est quasiment assuré de se maintenir et si, ensuite, on bat le Bélarus,on peut même, pourquoi pas, refaire un exploit et peut-être se qualifier pour les quarts de finale !
G. F. : de quelle façon cette nouvelle formule influencera-t-elle les regroupements France ?
P. P. : on ne peut pas faire plus de regroupement, on est au maximum avec quatre par an, imposés par l'IIHF, en septembre, novembre, décembre et février. Il faudrait améliorer la qualité des rencontres internationales en jouant contre des grosses nations. Mais il faudrait surtout densifier la ligue Magnus en en augmentant le nombre de matches !
La coupe de la Ligue et la coupe de France, c'est bien, mais si vous n'êtes pas qualifiés, vous ne jouez pas. Renforcer la ligue Magnus est indispensable si l'on veut que les joueurs prennent l'habitude de disputer au moins deux matches par semaine. A l'image du rythme des autres gros championnats européens !
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dimanche 12 juin 2011
Les Bleuets en stage à Font-Romeu
L'équipe de France A' est en stage à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 21 juin, à Font-Romeu. Au menu, révision des techniques de base et préparation physique.
Pas de grande surprise dans la composition de l'équipe A', rassemblée aujourd'hui à Font-Romeu pour 10 jours de stage.
Le groupe se compose de nouveaux par rapport à la sélection 2009/2010 pour le même stage tels :
- les gardiens Clément Fouquerel et Sebastian Ylönen
- les défenseurs Cédric Custosse et Kevin Dusseau
- les attaquants Victor Barbero, Charles Bertrand, Valentin Claireaux, Robin Gaborit et Alexandre Mulle.
A leurs côtés, l'on retrouve Antonin Manavian, habitué des regroupements seniors ainsi que 7 joueurs ayant participé aux derniers Mondiaux de Kosice, tels :
- le gardien Ronan Quemener
- les défenseurs Jonathan Janil, Maxime Moisand, Teddy Trabichet
- les attaquants Nicolas Arrossamena, Loïc Lampérier et Jérémie Romand.
© Edouard Dufournet crédit photo www.rhe76.com
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jeudi 9 juin 2011
Ligue Magnus : les défenseurs les plus décisifs 2010/2011
Alors que le recrutement pour la prochaine saison de ligue Magnus bat son plein, Glacenews vous offre pour la 2e année consécutive le classement des joueurs les plus décisifs de la saison régulière, toutes équipes confondues. Dernier volet aujourd'hui avec les défenseurs. Il y a deux saisons, Glacenews a commencé à répertorier les joueurs les plus efficaces à partir des play-offs puisque le blog avait été créé en janvier 2009. Pour la 2e année consécutive, je suis en mesure de vous fournir un classement portant sur les 26 journées du championnat français.
Ce baromètre permet de prendre en compte non pas les performances des meilleurs buteurs ou assistants, mais la capacité des joueurs qui, sous la pression qui croît au fil de la saison, parviennent à faire la différence dans des situations cruciales.
Les buts inscrits et ainsi comptabilisés n'ont pas tous la même valeur, selon qu'ils sont marqués en première, deuxième, troisième période ou en prolongation. Un but qui rompt l'égalité au cours de la 3e période est beaucoup plus valorisant qu'un but inscrit en première période, puisqu'il lorsqu'il reste aux deux équipes un temps de jeu important. Le même raisonnement s'applique aux buts égalisateurs. Dans cette situation, le joueur doit parvenir à produire une attaque concluante sous la pression.
Ce classement a été établi en prenant en compte les buts et assistances qui ont fait la différence sur l'ensemble des matches du 1er tour à la finale :
- - le premier but de chaque équipe + assistance
- - le but égalisateur + assistance
- - le but qui donne l'avantage + assistance
- - 1e période : 1 point par but et par assistance
- - 2e période : 3 points par but et par assistance
- - 3e période : 4 points par but et par assistance
- - prolongation : 6 points par but et par assistance
Top 14 des défenseurs décisifs de ligue Magnus 2010/2011
- 47 points : Brent Patry (Chamonix)
- 46 points : Daniel Sedlak (Villard-deLans)
- 35 points : Lauri Lahesalu (Angers) - gagne 1 place à 18 pts en 2009/2010
- 33 points : Pavel Kowalczyk (Amiens) - même place à 24 pts en 2009/2010
- 31 points : Jan Hagelberg (Epinal)
- 26 points : Kevin Hecquefeuille (Amiens)
- 25 points : Jens Olsson (Rouen)(en photo)
- 23 points : Nikko Mantyla (Epinal)
- 20 points : Stéphane Gervais (Epinal) - gagne 1 place à 20 pts en 2009/2010
- 19 points : Vincent Bachet (Amiens)
- 18 points : Peter Slovak (Epinal)
- 17 points : Kevin Dusseau (Briançon)
- 15 points : Alexandre Rouleau (Grenoble) - perd 11 places à 37 pts en 2009
- 15 points : Calle Bergström (Rouen)
© Jens Olsson - crédit photo www.rhe76.com
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mercredi 8 juin 2011
Ligue Magnus : attaquants décisifs 2010/2011
Alors que le recrutement pour la prochaine saison de ligue Magnus bat son plein, Glacenews vous offre pour la 2e année consécutive le classement des joueurs les plus décisifs de la saison régulière, toutes équipes confondues. Demain paraîtra celui portant sur les défenseurs de ligue Magnus. Il y a deux saisons, Glacenews a commencé à répertorier les joueurs les plus efficaces à partir des play-offs puisque le blog avait été créé en janvier 2009. Pour la 2e année consécutive, je suis en mesure de vous fournir un classement portant sur les 26 journées du championnat français.
Ce baromètre permet de prendre en compte non pas les performances des meilleurs buteurs ou assistants, mais la capacité des joueurs qui, sous la pression qui croît au fil de la saison, parviennent à faire la différence dans des situations cruciales.
Les buts inscrits et ainsi comptabilisés n'ont pas tous la même valeur, selon qu'ils sont marqués en première, deuxième, troisième période ou en prolongation. Un but qui rompt l'égalité au cours de la 3e période est beaucoup plus valorisant qu'un but inscrit en première période, puisqu'il lorsqu'il reste aux deux équipes un temps de jeu important. Le même raisonnement s'applique aux buts égalisateurs. Dans cette situation, le joueur doit parvenir à produire une attaque concluante sous la pression.
Ce classement a été établi en prenant en compte les buts et assistances qui ont fait la différence sur l'ensemble des matches du 1er tour à la finale :
- - le premier but de chaque équipe + assistance
- - le but égalisateur + assistance
- - le but qui donne l'avantage + assistance
- - 1e période : 1 point par but et par assistance
- - 2e période : 3 points par but et par assistance
- - 3e période : 4 points par but et par assistance
- - prolongation : 6 points par but et par assistance
Top 14 des attaquants décisifs de ligue Magnus 2010/2011
- 79 points : Jan Plch (Epinal)
- 69 points : Michal Petrak (Epinal)
- 67 points : Carl Lauzon (Chamonix)
- 66 points : Jean-Christophe Gauthier (Villard-de-Lans)
- 58 points : Guillaume Chassard (Epinal)
- 57 points : Carl Mallette (Rouen) - perd 5 places, 1er en 2009/2010 à 59 pts
- 53 points : Maxime Boisclair (Epinal)
- 49 points : Richard Aimonetto (Chamonix)- prend 3 places, 11e à 42 pts
- 48 points : Clément Masson (Mont-Blanc)
- 48 points : Jeffrey Clarke (Mont-Blanc)
- 48 points : Julien Desrosiers (Rouen)- perd 6 places, 5e à 45 points
- 47 points : Yanick Riendeau (Dijon)
- 45 points : Miroslav Pazak (Amiens)(photo) - perd 11 places, 2e à 47 pts
- 45 points : Jonathan Bellemare (Angers) - perd 7 places, 7e à 43 pts
Tous les autres joueurs en dehors de Carl Mallette, Richard Aimonetto et Julien Desrosiers, Mirolsav Pazak et Jonathan Bellemare rentrent dans le classement, soit grâce à leurs performances, soit parce qu'ils jouaient pour la première fois en ligue Magnus.
Demain, le palmarès des défenseurs les plus décisifs de ligue Magnus.
©Miroslav Pazak crédit photo www.rhe76.com
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mardi 7 juin 2011
Ligue Magnus : joueurs décisifs 2010/2011
Alors que le recrutement pour la prochaine saison de ligue Magnus bat son plein, Glacenews vous offre pour la 2e année consécutive le classement des joueurs les plus décisifs de la saison régulière, toutes équipes confondues. Demain paraîtra celui portant sur les attaquants de ligue Magnus et jeudi, celui consacré aux défenseurs du championnat français.
Il y a deux saisons, Glacenews a commencé à répertorier les joueurs les plus efficaces à partir des play-offs puisque le blog avait été créé en janvier 2009. Pour la 2e année consécutive, je suis en mesure de vous fournir un classement portant sur les 26 journées du championnat français. Ce baromètre permet de prendre en compte non pas les performances des meilleurs buteurs ou assistants, mais la capacité des joueurs qui, sous la pression qui croît au fil de la saison, parviennent à faire la différence dans des situations cruciales.Les buts inscrits et ainsi comptabilisés n'ont pas tous la même valeur, selon qu'ils sont marqués en première, deuxième, troisième période ou en prolongation. Un but qui rompt l'égalité au cours de la 3e période est beaucoup plus valorisant qu'un but inscrit en première période, puisqu'il lorsqu'il reste aux deux équipes un temps de jeu important. Le même raisonnement s'applique aux buts égalisateurs. Dans cette situation, le joueur doit parvenir à produire une attaque concluante sous la pression.
Ce classement a été établi en prenant en compte les buts et assistances qui ont fait la différence sur l'ensemble des matches du 1er tour à la finale :
- - le premier but de chaque équipe + assistance
- - le but égalisateur + assistance
- - le but qui donne l'avantage + assistance
- - 1e période : 1 point par but et par assistance
- - 2e période : 3 points par but et par assistance
- - 3e période : 4 points par but et par assistance
- - prolongation : 6 points par but et par assistance
Top 14 des joueurs décisifs de ligue Magnus 2010/2011
- 79 points : Jan Plch (Epinal)
- 69 points : Michal Petrak (Epinal)
- 67 points : Carl Lauzon (Chamonix)
- 66 points : Jean-Christophe Gauthier (Villard-de-Lans)
- 58 points : Guillaume Chassard (Epinal)
- 57 points : Carl Mallette (Rouen) - perd 5 places, 1er en 2009/2010
- 53 points : Maxime Boisclair (Epinal)
- 49 points : Richard Aimonetto (Chamonix)- prend 3 places, 11e en 2009/2010
- 48 points : Clément Masson (Mont-Blanc)
- 48 points : Jeffrey Clarke (Mont-Blanc)
- 48 points : Julien Desrosiers (Rouen)- perd 6 places, 5e en 2009/2010
- 47 points : Brent Patry (Chamonix) - premier défenseur du classement
- 47 points : Yanick Riendeau (Dijon)
- 46 points : Daniel Sedlak (Villard-de-Lans) (en photo)
Demain, le palmarès des attaquants les plus décisifs de ligue Magnus. Qui sera à la 14e place, à la place de Daniel Sedlak ?
© Daniel Sedlak - crédit photo www.rhe76.com
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dimanche 5 juin 2011
Rouen organise la finale de la coupe d'Europe
L'IIHF, réunie en congrès en fin de semaine à Budapets, en Hongrie, a attribué l'organisation de la finale de la coupe d'Europe Continentale à Rouen et qualifie les Dragons de fait.
Et de 3 ! Après la finale en janvier 2009, la demi-finale en novembre 2010, Revoilà la finale à la patinoire de l'île Lacroix... L'épreuve se disputera du 13 au 15 janvier 2012 en terre normande.
Rouen recevra le Yunost Minsk, vainqueur de l'édition 2011 à laquelle l'équipe normande avait participé à Minsk. Reste à savoir qui seront les deux autres qualifiés issus des demi-finales.
En 2009, lors de la finale, Rouen a terminé 2e derrière les Slovaques de Martin et 4e de la finale organisée cette année, à Minsk.
La Ligue des Champions ne décollant toujours pas à cause de la réticence de certaines nations à s'engager dans un championnat qui, visiblement, ne leur rapporte pas assez, la coupe d'Europe Continentale demeure l'unique épreuve à l'échelle européenne.
Un beau titre sur le papier permettant aux clubs de nations de moindre niveau que celui des cadors européens à savoir la Suède, la Finlande, la Russie, la République tchèque, l'Allemagne, la Suisse, de se mesurer.
Reste à savoir ce que vaut un tel titre quand à chaque tour, les organisateurs sont qualifiés d'office sans avoir ni les déplacements, ni la fatigue physique des autres matches dans les jambes... et quand les terrains de jeu sont totalement partiaux...
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Et de 3 ! Après la finale en janvier 2009, la demi-finale en novembre 2010, Revoilà la finale à la patinoire de l'île Lacroix... L'épreuve se disputera du 13 au 15 janvier 2012 en terre normande.
Rouen recevra le Yunost Minsk, vainqueur de l'édition 2011 à laquelle l'équipe normande avait participé à Minsk. Reste à savoir qui seront les deux autres qualifiés issus des demi-finales.
- Les Russes de Rubin Tyumen (2e division russe), les Polonais de Cracovie (le retour !) et les Ukrainiens de Donetsk disputeront déjà une demi-finale à Donetsk, en Ukraine.
- Dans l'autre demi-finale qui aura lieu à Herning, au Danemark, s'affronteront les Italiens d'Asiago, les Anglais de Sheffield et les Danois de Herning.
En 2009, lors de la finale, Rouen a terminé 2e derrière les Slovaques de Martin et 4e de la finale organisée cette année, à Minsk.
La Ligue des Champions ne décollant toujours pas à cause de la réticence de certaines nations à s'engager dans un championnat qui, visiblement, ne leur rapporte pas assez, la coupe d'Europe Continentale demeure l'unique épreuve à l'échelle européenne.
Un beau titre sur le papier permettant aux clubs de nations de moindre niveau que celui des cadors européens à savoir la Suède, la Finlande, la Russie, la République tchèque, l'Allemagne, la Suisse, de se mesurer.
Reste à savoir ce que vaut un tel titre quand à chaque tour, les organisateurs sont qualifiés d'office sans avoir ni les déplacements, ni la fatigue physique des autres matches dans les jambes... et quand les terrains de jeu sont totalement partiaux...
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mercredi 1 juin 2011
Coups à la tête : tolérance zéro au Canada Part. III
Les mesures de tolérance zéro en matière de contact et de coups à la tête ont été approuvées par la fédération canadienne de hockey sur glace lors de sa 92e assemblée générale qui s'est achevée samedi dernier. Aujourd'hui, Glacenews vous fait découvrir les différentes prises de position sur les commotions cérébrales entendues au sein de la NHL ainsi que quelques pistes de réflexion pour expliquer pourquoi le nombre de ces traumatismes reste toujours aussi élevé.
Il aura fallu bien des commotions cérébrales et des franchises de NHL privées de leurs stars fétiches pour qu'une réelle prise de conscience s'opère.
Après trois jours de discussions à Calgary, les 250 délégués venus de tout le pays sont tombés d'accord sur un point : la tolérance zéro en matière de contact et de coups portés à la tête.
Revenons quelques mois en arrière. Out, la superstar de Pittsburgh, Sydney Crosby, victime d'une commotion cérébrale les 1er et 5 janvier. Saison terminée.
En mars, l'Américain Max Pacioretty heurtait violemment un poteau d'enceinte, propulsé par le défenseur slovaque Zdeno Chara, des Bruins de Boston. Résultat : commotion cérébrale et fracture d'une vertèbre cervicale pour l'attaquant des Canadiens de Montréal. On pourrait encore citer Patrice Bergeron, Marc Savard ou encore David Krejci, tous de Boston...
Malgré les règles plus strictes chaque année, pourquoi les commotions cérébrales sont-elles toujours aussi nombreuses ?
Alors que le National Post faisait sa Une sur la blessure de Pacioretty avec ce titre "Quelqu'un devra-t-il mourir pour que les règles changent ?", la Presse de son côté sondait la population québécoise. 78 % des votants estimaient que le hockey était devenu trop violent.
A tel point que les sponsors également se posent de plus en plus la question de leur investissement, à l'image d'Air Canada. Suite à l'affaire Pacioretty, la compagnie aérienne a menacé de se retirer de la NHL...
http://@glacenews.blogspot.com - reproduction partielle ou totale interdite sauf autorisation de l'auteur
Il aura fallu bien des commotions cérébrales et des franchises de NHL privées de leurs stars fétiches pour qu'une réelle prise de conscience s'opère.
Après trois jours de discussions à Calgary, les 250 délégués venus de tout le pays sont tombés d'accord sur un point : la tolérance zéro en matière de contact et de coups portés à la tête.
Revenons quelques mois en arrière. Out, la superstar de Pittsburgh, Sydney Crosby, victime d'une commotion cérébrale les 1er et 5 janvier. Saison terminée.
En mars, l'Américain Max Pacioretty heurtait violemment un poteau d'enceinte, propulsé par le défenseur slovaque Zdeno Chara, des Bruins de Boston. Résultat : commotion cérébrale et fracture d'une vertèbre cervicale pour l'attaquant des Canadiens de Montréal. On pourrait encore citer Patrice Bergeron, Marc Savard ou encore David Krejci, tous de Boston...
Malgré les règles plus strictes chaque année, pourquoi les commotions cérébrales sont-elles toujours aussi nombreuses ?
- tout d'abord, parce qu'il faut un délai d'adaptation entre l'instauration de ces règles et leur application par tous sur la glace. Or, il n'y a rien de plus long à changer qu'un comportement et que de mauvaises attitudes. Comme le dénonce le docteur Echemendia, neurologue, responsable du groupe sur le sujet au sein de la NHL, de nombreux joueurs ne respectent toujours pas leurs adversaires et s'autorisent de vilains gestes...
- ensuite, le nombre de cas est toujours aussi élevé car les commotions cérébrales sont beaucoup mieux diagnostiquées grâce à la vigilance et la formation du personnel médical
- comme le souligne le docteur Mark Aubry, médecin en chef de Hockey canada et de la fédération internationale de hockey sur glace, dans La Presse, journal canadien, il n'est pas nécessaire d'être touché à la tête pour subir une commotion cérébrale. D'où l'importance de sanctionner les coups à la tête, mais également de punir tout geste vicieux qui peut entraîner une grave belssure au joueur visé.
- Peter Chiarelli fournit également une explication technique à ce nombre élevé. OUtre le gabarit des joueurs, toujours plus grands, plus forts et plus rapides, le directeur général des Bruins de Boston évoque aussi la diminution de l'obstruction qui rend le jeu plus rapide et les joueurs offensifs beaucoup plus vulnérables à cause de leur vitesse.
Alors que le National Post faisait sa Une sur la blessure de Pacioretty avec ce titre "Quelqu'un devra-t-il mourir pour que les règles changent ?", la Presse de son côté sondait la population québécoise. 78 % des votants estimaient que le hockey était devenu trop violent.
A tel point que les sponsors également se posent de plus en plus la question de leur investissement, à l'image d'Air Canada. Suite à l'affaire Pacioretty, la compagnie aérienne a menacé de se retirer de la NHL...
http://@glacenews.blogspot.com - reproduction partielle ou totale interdite sauf autorisation de l'auteur
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