Depuis ce vendredi 13 mai, l’équipe de France se retrouve parmi le gratin de hockey, au Mondial d’Helsinki. Une présence au plus haut niveau due aux exclusions de la Russie et de la Biélorussie… et, avouons-le, une présence à très haut risque.
Pour ce grand défi, le patron des tricolores, Philippe Bozon a
rassemblé un effectif de vingt-cinq joueurs où, hélas des éléments de
poids comme Stephane Da Costa (KHL), Pierre-Edouard Bellemare et Antoine
Roussel (NHL) feront défaut.
Alors, dans l’alignement français, des
jeunes espoirs ont été appelés, notamment Louis Boudon qui a superbement
brillé en NCAA, Kevin Bozon, Enzo Guebey et Hugo Gallet qui progressent
régulièrement en Suisse et en Finlande.
Ces «nouveaux» se retrouveront aux côtés de notre seul NHLer
présent Alexandre Texier ; de nos expatriés des grands championnats
européens Tim Bozon, Thomas Thierry et Valentin Claireaux (Suisse),
Yohann Auvitu et Charles Bertrand (Finlande), Jordann Perret (République
Tchèque), Anthony Rech (Allemagne), Guillaume Leclerc (Slovénie) et
bien sûr des valeurs sûres de la Ligue Magnus: Damien Fleury, Sacha
Treille, Pierre Crinon, Nicolas Ritz, Florian Chakiachvili, Vincent
Llorca, Romain Bault et aussi Dylan Fabre, la révélation de la saison.
Le trio de gardiens est composé très logiquement de Henri-Corentin
Buysse, Quentin Papillon (l’exilé en Norvège) et Sebastian Ylonen.
Dans sa poule, cette France affrontera successivement la Slovaquie
(le 13 mai), le Kazakhstan (le 15), l’Allemagne (le 16), l’Italie (le
18), le Danemark (le 21), la Suisse (le 22) et le Canada (le 24).
La bataille pour le maintien sera une rude affaire !
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