Athéna Locatelli, défenseure des Bleues @ Stéphane Heude |
Votre meilleur souvenir de hockey ?
Athéna Locatelli : j'ai joué deux ans à l'Université de Montréal et en 2012/2013, on a gagné le championnat canadien. Ce fut des émotions fortes.
Le pire ?
A. L. : le championnat du monde en 2000 à Graz, on a échoué. On a été rétrogradé.
Votre principale qualité ?
A. L. : je suis une battante, je ne me laisse jamais faire.
Votre principal défaut ?
A. L. : je suis trop impulsive, je me laisse peut-être facilement emporter.
Des regrets ?
A. L. : oui, par rapport à mon interruption de 2 ans. Même si c'était par choix, je regrette de les avoir perdus car je n'ai pas progressé pendant ce temps-là.
Une philosophie de vie ?
A. L. : j'essaie de me dire qu'il faut vraiment relativiser les choses. Je vis une expérience que beaucoup de gens aimeraient vivre. Je dois donc donner mon maximum.
Quand vous vous regardez dans la glace le matin, vous vous dites quoi ?
A. L. : oh la la, la tronche ! (rires)
Comment peut-on vous faire plaisir dans la vie ?
A. L. : en me cuisinant des bons petits plats, en m'encourageant dans mon sport.
Une passion ?
A. L. : ma famille, mes soeurs, faire des activités en famille avec les enfants de mes soeurs. Je déteste faire les courses !
Dans le car, en déplacement, que faites-vous ?
A. L. : je lis bien souvent parce que je prépare le concours de CPE (conseiller principal d'éducation), j'écoute de la musique et je fais la sieste.
Pourquoi le hockey et pas le curling ?
A. L. : d'abord parce que je ne connaissais pas le curling à l'âge de 6 ans. Parce que le hockey tenait beaucoup de place à Villard de Lans et que mes soeurs étaient en couple avec des joueurs. J'ai eu envie d'essayer en allant voir les matches.
Dans une autre vie, vous auriez été... ?
A. L. : j'aurais aimé faire quelque chose en rapport avec l'eau, vivre en Californie pour surfer sur des grosses vagues.
Une appli indispensable dans votre smartphone ?
A. L. : celle de France Télévisions pour les J.O (en cours au moment de l'interview)
Un lieu d'enfance ?
A. L. : chez moi, à la maison, où je passais mes vacances d'été.
Un lieu pour se ressourcer ?
A. L. : une balade sur un belvédère en montagne pour surplomber les maisons et prendre une bonne bouffée d'air pur.
Un lieu pour s'éclater ?
A.L. : aller en ville, au resto entre amis, juste pour passer un bon moment.
Un lieu pour se faire oublier ?
A. L. : chez mes parents, dans ma chambre d'enfant, dans un petit village à côté de Villard.
Un truc de fou que vous rêvez de faire ?
A. L. : j'aimerais partir en voyage pendant plusieurs semaines avec presque rien pour découvrir des gens et d'autres cultures.
Votre plus beau voyage ?
A. L. : 4 jours passés à Los Angeles. C'était court, mais j'ai toujours voulu aller là-bas.
L'une de vos pires galères en voyage ?
A. L. : c'est quand on part en stage France avec nos sacs dans le train. C'est compliqué quand on a un transfert à faire dans le métro à Paris !
Si vous étiez célèbre, avec qui monteriez-vous les marches du festival de Cannes ?
A. L. : avec Martine, ma maman
Si vous étiez millionnaire, quel club de hockey rachèteriez-vous ?
A. L. : mon club formateur, Villard !
Quel gardien embaucheriez-vous ?
A. L. : Henrik Lundqvist des New York Rangers.
Avec quelle hockeyeuse / quel hockeyeur aimeriez-vous jouer ?
A. L. : Marie-Philip Poulin (NDLR : double championne olympique et capitaine de Team Canada)
Puisque vous détestez faire les courses, que seriez-vous prête à faire pour y échapper ?
A. L. : ne pas manger ! (rires)
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